Lettres à Doubenka, jour des Rois 1990.
Aude, Languedoc, Tchécoslovaquie, Ariège, Pyrénées, Océan Indien, Lyon, Brésil, ports familiers mais unique maison des humains. Apprendre du passé, refuser la gouvernance cupide suicidaire. Se ressourcer dans l'enfance pour résister, ne pas subir. Passer ? Dire qu'on passe ? Sillage ? Aïeux, culture, accueil, ouverture aux autres, tolérance, respect, héritage à léguer (amour, écoute, cœur, mémoire, histoire, arts...) des mots forts, autant de petites pierres bout à bout qui font humanité.
lundi 20 octobre 2025
Emplâtrer ?
Lettres à Doubenka, jour des Rois 1990.
mercredi 26 mars 2025
La « TUE-COCHON » petite anthologie... suite et au-delà (4)
Suite du sentiment que je dois à Jean-Claude Carrière, serait-ce en divergences et reproches mais toujours avec reconnaissance et amour...
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Le sentiment n'empêche pas d'exprimer ses divergences, en particulier à propos de cette peur du peuple ressentie par une élite autoproclamée, en cela très jacobine, ethnocentrée, parisienne pour résumer, derrière laquelle Jean-Claude Carrière s'est rangé. Or, cette hantise pourtant, se doit d'être ressentie en sens inverse : le peuple n'a-t-il pas à subir une répulsion au nom d'une caste dirigeante impudente de ses privilèges exagérés lorsqu'elle demande toujours des sacrifices aux moins bien lotis (sécurité sociale, retraites, écologie boboïsante et discriminatoire...) ? Une caste qui se paie sur la bête (mais où donc passe le pognon dans un pays des plus soumis à l'impôt au monde ? ), une caste privilégiant l'assistanat par anticipation d'une révolte plausible, une minorité servant les puissances d'argent (marchés publics faussés au profit des offres les plus dispendieuses... Renvois d'ascenseurs ? république des copains ? ), une minorité servie par des médias courtisans, soumis et opportunistes, peu soucieux d'honneur et de vérité, une minorité considérant le peuple comme un corps étranger... Royauté, République... aux répressions contre les Bonnets Rouges, Croquants ou autres Va-nu-pieds a succédé la Semaine Sanglante, l'écrasement du peuple par les Versaillais. De nos jours encore, les rapports dominants-dominés persistent dévoyant le « par le peuple pour le peuple » de la Constitution aux principes vains... égalité - fraternité, tu parles ! Et liberté... bref... les gouvernants, hauts-fonctionnaires, élus, restent foncièrement contre le peuple dont ils ont peur (1) et qu'ils voudraient changer sinon lobotomiser... À quand une nuit du 4 août contre des privilèges non plus féodaux mais aussi récurrents qu'abusifs ?
Provincial revendiqué, Carrière serait-il, par définition lié au pouvoir de la capitale (une autre étymologie de « province » apparenterait à “ rattachée car vaincue ”), sinon complètement émancipé de l'acception si méprisante du mot « terroir », “ parisiennement ” parlant...
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| Jean-Claude Carrière httpswww.facebook.comwatchref%20arts | 
Emporté que je suis par cet arbitraire révoltant, vais-je me laisser détremper par une nostalgie émolliente, une tendre pensée, un amour qui fait revenir vers ceux qu'on a aimés et qui ne sont plus ? Aimer quelqu'un n'est-ce pas en accepter toutes les facettes, confluentes ou divergentes avec les siennes propres ? Jean-Claude Carrière, je continue de l'aimer fort pour son « VIN BOURRU » valant profession de foi, en faveur de la reconnaissance d'un Languedoc aux racines occitanes encore vives en dépit des outrages et mépris persistants de la capitale. Il est de ceux tels Arène, Giono, Brassens, Chamson, Pagnol, sudistes montés à Paris pour s'ouvrir les chemins de la renommée, plus ou moins arrivistes, le terme serait-il trop fort, mais non au point de vendre leur âme... En signe de reconnaissance, la volonté de ne pas perdre l'accent (malgré des concessions opportunistes, il faut l'admettre), le choix de reposer à jamais dans la terre des ancêtres... Il en est, Carrière, de ceux qui finalement et malgré les contradictions partagées chez tous les humains, font ou ont fait un pied-de-nez à un parisianisme même pas capable d'accompagner dignement la France en rang désormais, ne serait-ce que de puissance moyenne...
Et mon père alors, (à suivre)
(1) même s'il est vrai que le peuple peut favoriser l'ascension d'un Mussolini ou d'un Hitler comma l'avançait Carrière...
jeudi 16 février 2023
La NOURRITURE avant (1850-1950) puis dans les années 60... (3)
Gâteaux et pâtisseries. Le circuit court pour les plus modestes. A la maison et au collège dans les années 60.
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| Les oreillettes de Laeti, ma neubeude ! gros poutous de tonton ! | 
La tradition voulait aussi qu'on fasse des gâteaux pour certaines fêtes ou lors de périodes particulières : barquettes de Toulouse, gimblettes d'Albi, floues de St-Affrique, biscottins de Bédarieux, galettes quadrillées de Carcassonne, fouacets, alleluias et rausels à l'anis de Castelnaudary, raouzels du Minervois pour le " Dius-a-vol ", oreillettes de carnaval...
C'est dans les couches populaires que l'alimentation et la façon de cuisiner collent aux ressources locales, aux circuits courts... les bourgeois, les gens aisés, eux, veulent manger comme à Paris. Puis le fait de se nourrir s'est nivelé, uniformisé (déjà en 1950, d'après l'article !). La magie, la religion, la géographie ne pèsent plus, on ne mange plus de millas dans les pays de maïs, les crêpes à la Chandeleur sont facultatives, les châtaignes, on les donne aux cochons, les poissons, sauf peut-être en été, viennent de l'océan. Tout le monde mange à peu près la même chose : pain, viande... Depuis la fin de la guerre de 39-44, ouvriers et paysans mangent mieux et pour moins cher. Et si le poste nourriture reste le premier dans le budget, ceux du logement, des vêtements, des loisirs commencent à compter.
| Vendanges cassoulet Carcassonne Wikimedia commons Auteur BrokenSphere | 
Il n'empêche, le cassoulet qu'on peut manger partout en France, reste un plat typique si on lui garde son originalité dans sa forme bourgeoise (bien améliorée par rapport au plat paysan plus cassoulet de mounjetos qu'à la viande comme on dit en parlant d'un plat avec seulement des haricots), par ses ingrédients (couennes fraîches, jarret de porc, salé d'oie, saucisse), le toupin ou la cassole en terre du Lauragais (surtout Castelnaudary) pour le cuire serait-ce sans plus disposer d'un four à bois où flamberaient des ajoncs (dit genêt épineux, ce qui peut prêter à confusion).
Pour finir et témoigner de ce qu'on mangeait à la maison dans les années 60, au risque d'en oublier (vous pouvez, vous devez et me corriger s'il faut, et compléter), nous avions, à table, dans la semaine,
* en entrée, salade ou charcuterie, pâté, boudin ;
* des pommes-de-terre (achetées par sacs de 50 kilos) bouillies, en purée, en frites, au four, plus rarement en brandade ;
* une à deux fois des légumes secs (lentilles, pois chiches, pois cassés, haricots),
* le soir, toujours la soupe (souvent de légumes) ou potage aux vermicelles lorsqu'il y avait du pot-au-feu ;
* des pâtes d'abord nouilles ou macaronis avant que la diversité de formes que nous connaissons de nos jours ne s'impose (certains portaient le plat à gratiner au boulanger, moyennant une modeste participation) ;
* de la viande surtout en sauce (blanquette, daube, bourguignon), souvent des abats (foie, rognons) ; le dimanche, un poulet fermier, de la saucisse ou de l'entrecôte (alors moins chère que la tranche) sur la braise de sarments ;
* le vendredi du poisson, plus souvent en été avec le poisson bleu (sardines, maquereaux, thon rouge), merlan, plie, raie en poisson frais sinon la morue mise à dessaler ;
* pour ce qui est du fromage, sans qu'il y en ait tout un plateau, le choix était plus restreint qu'aujourd'hui (gruyère, cantal, roquefort, camembert de Mariotte (fait au Fousseret, dans le département de la Haute-Garonne), un pyrénées assez insipide couvert d'une peau élastique noire, augurant de ce que serait l'ère du plastique omniprésent.
* au dessert, des pommes au four, du riz-au-lait, du flan, du yaourt de Rieucros dans l'Ariège (le pot de verre était consigné tout comme pour la bouteille de lait / il y avait encore des laitières au village, dont Émilienne).
| Rouzilhous, lactaires délicieux. | 
Comme il était apprécié alors de suivre les saisons (raisins, azeroles, coings, châtaignes, pommes, poires, rouzilhous à l'automne), poireaux (de vignes et sauvages éventuellement), choux, betteraves, cardes, endives en hiver... épinards, asperges sauvages, fèves, asperges vertes, petits pois, puis fraises, cerises au printemps, tomates, haricots verts, cèbe de Lézignan en été, abricots, pêches...
Et au collège Victor-Hugo, à la demi-pension : salade verte ou betteraves ou carottes, fayots, lentilles, nouilles ou macaronis, purée, pommes-de-terre dans les ragoûts, blanquettes, frites le samedi, omelette, sardines, morue ou brandade le vendredi et toujours... de la sixième à la terminale, un litre de vin pour huit ! Et en dessert, j'ai oublié... un fruit ? un bout de fromage ? Le goûter était de rigueur : la vache qui rit, la pâte de fruit de marque Dumas (Pézenas), le chocolat qu'on partait faire fondre en tartine sur les poêles à charbon des classes ouvertes. Il y avait aussi une gelée de raisin présentée en portion plastique (pas moyen d'en retrouver la trace peut-être en lien avec l'usine UVOL de jus de raisin alors à Nissan-lez-Ensérune encore dans les années 60).
mercredi 18 janvier 2023
" les ARISTOCRATES on les PENDRA... "
Est-ce la plus haute distinction quand on est déjà vingt fois " grande d'Espagne" en duchés, marquisats et comtés sans compter trente-deux autres titres dont " Dame de " pour le plus modeste ?
L'essentiel n'est-il pas de s'insurger parce qu'on ne reprend pas à ces aristocrates tant d'hectares de terre confisqués aux plus modestes ? L'essentiel n'est-il pas de condamner une Union Européenne plus réactionnaire que de progrès lorsque, par le biais de la PAC, elle alloue 5350 € par jour à de tels privilégiés qui continuent d'exploiter et de dépouiller la masse de gens modestes ?
Comme pour juguler un mécontentement légitime, le gouvernement andalou a bien racheté des domaines mais sans redistribuer ou laisser exploiter ces terres par des gens qui, brassiers ou chômeurs (tant l'immigration contribue aussi à rabaisser les plus modestes) ont besoin de manger ! Le monde libéral, au nom du profit, privilégie tous les abus dont celui de subventionner des cultures à l'exportation alors que la main-d'œuvre locale est maintenue dans le besoin et quand la désobéissance légitime amène à occuper des terres laissées à l'abandon dans le but de spéculer, l'Etat complice organise la répression des mouvements sociaux, l'emprisonnement des syndicalistes... " Suivant que vous serez puissant ou misérable " écrivait La Fontaine...
Parce qu'il rappelle trop la minorité dominante qui opprime les peuples, parce qu'il était le cas le plus voyant, le moins dissimulé vu la vie de l'héritière d'Albe, il ne faut surtout pas laisser de côté tous ces milliardaires sans particule, cachés au sein de collectifs d'actionnaires, de banques, assurances, fonds de pension (suite au scandale des maisons de retraite ORPEA, rien n'a changé dans la primauté de la finance sur le respect à la personne !) qui accumulent des profits ignobles sans contribuer à la solidarité collective puisque la fraude aux bénéfices camouflés dans les paradis fiscaux est plusieurs milliers de fois supérieure au détournement des prestations sociales d'un pays dit " développé ".
Il n'empêche que le Monde continue de tourner toujours pour les mêmes tant que les politiques ne font rien contre un système mafieux qui est le leur...
vendredi 5 mars 2021
JEAN-CLAUDE, il faut que je te dise... / A J-C Carrière (fin).
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| Jean-Claude_Carrière_à_la_BNF wikimedia commons Author Roman Bonnefoy | 
En écho, le Spiderman des façades, peignant un peuple au paradis qui se croirait en enfer, cité par Salamé. En écho, les points de vue des gens célèbres avec qui tu travaillas, Buñuel, Forman... ne pouvant être que partiaux en rappelant le franquisme ou le communisme, le dévoiement de bons principes au départ, pour faire court. Mets donc en parallèle nos journalistes qui me ramènent à ceux de la Tchécoslovaquie après 68. Bien sûr, l’école gratuite, la santé gratuite en France... juste le fric en dénominateur commun ? Pour quelle qualité ? Et même si c’était l'idéal, va donc en parler à la chèvre de monsieur Seguin ! Et ne me prie pas de considérer la manière dont l’histoire finit... des scénarios, tu en as assez écrits pour ne pas avoir plusieurs variantes positives à proposer, ce qui me semble moins possible pour le premier terme de ma proposition « la petite chèvre ne pouvait vivre que libre...».
Sinon ta jambe lancée vers le Monde, tes sujets d’études si lointains, comme l’Inde, l’Espagne, le Mexique, l’étaient depuis la capitale, un Paris qui t’a englué dans la bulle élitiste du pouvoir promouvant une culture d’État et qui, dans une politique de vassalité protégée a besoin de l’alibi culturel pour perdurer. Qu’est-ce que tu lui as trouvé, à ce guignol qui perpétue l’ère des promesses fallacieuses et qui au lieu de proposer un monde nouveau continue tout et en pire ?
Et quand on passe onze ans à travailler sur le Mahabarhata, Jean-Claude, on réfléchit cinq minutes de plus si un scorbut démocratique ronge notre pays... Reprends-toi macarel, tu vaux mieux que ça ! Tu ne disais qu'en privé sûrement :
"... madame Macron me récite parfois des passages de la controverse de Valladolid... "
Je ne sais pas si « ta fille » du festival de Nîmes t’as rendu service en dévoilant cette accointance courtisane... Et pour ta gouverne, la télé repasse "Mourir d’Aimer" avec Girardot... Tu fus plus humble avec tes promotions de grades jusqu’à atteindre celui de commandeur dans l’honneur et le mérite... Tu n’y es pas allé en tennis et dégaine décontractée, sûrement, comme pour tes interviews et interventions dans les médias ?
Je lie cette idée à Napoléon qui promut ces décorations et n’en pensait pas moins : « C’est avec des hochets que l’on mène les hommes ! »
Pardonne-moi de m’être permis d’évoquer cette première raison, la plus dure à faire passer mais ce n’est pas parce que j’ose un point de vue que je crois acceptable sinon lucide que je ne t’aime pas pour autant. Monter à Paris, c'est un choix, une circonstance atténuante à condition de rester indulgent avec les ambitieux... Moi-même je reste coupable de m’être éloigné de ce que tu devenais, de m’être persuadé que je ne t’aimais plus. Il faut malheureusement un contexte aussi définitif que la mort pour que la réalité des sentiments submerge. Une détresse, une tristesse active poussant à aller lire et relire les infos et vidéos te concernant comme s’il était possible de compenser les deux années perdues. Lors de la disparition de quelqu’un qui comptait dans notre paysage affectif, la question de savoir si on l’a assez aimé se pose. Cela doit faire partie de ces «Regrets éternels» qui se répètent... au cimetière.
Et que tu reviennes au pays, à la maison qui te vit naître avec... Arêne, Bosco, Giono, Jean Carrière, Delteil, Valéry, Vilar, Lapointe, Poubelle, Brassens,Trénet... ajoute ton nom à ma liste dans une lumière qui les berça "A ses dignes enfants, le Midi reconnaissant."... Autre chose que la pierre froide et sombre du jacobinisme triomphant et ramenant tout à lui. Entre les deux, j'y pense sans savoir, Jean Camp (1891-1968) de Salles-d'Aude, décédé aussi à Paris, où repose-t-il ? Il n'y a pas de hasard dit-on, pourtant issu du même coin, avec un tropisme marqué pour l'Espagne, le Mexique (son fils André (1920-2004), né à Armissan, reprenant ce flambeau...) dont les parents aussi, partirent pour la capitale, si je ne fais pas erreur, écartelé comme toi, entre l'éblouissement limité d'un projecteur de poursuite à Paris et le rayonnement durable d'un magma spirituel méridional. Une sève originelle portée par la langue et là encore comme l'occitan compte, pour Camp comme pour toi. Je te le lirai, Lou Doublidaire :
Et là, alors que chaque jour j’imagine les mimosas que tu appréciais tant sur ton dernier chemin, pardonne plus encore au ver que je suis, luisant parfois, j’espère oui, de ceux «... qui brillent la nuit dans les chemins sombres, appelant l’amour...» comme tu le notas dans Le Vin Bourru... mais par une nuit pleine d’étoiles dont la tienne, comme il me plaît de voir cette «bucolie».
Les premières asperges sauvages sont sorties, tu sais...
lundi 12 octobre 2020
LIBERALISME MORTIFERE...
“Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les regardent sans rien faire."
Albert Einstein.
« Un peuple qui élit des menteurs, des voleurs, des renégats, des imposteurs et des traîtres, n’est pas victime, il est complice »
George Orwell.
 La France anticipe l'agenda mondialiste comme elle anticipa les demandes de monsieur Hitler... Ceci n'engage que moi... 
vendredi 18 janvier 2019
CARRIERE, SALAME, TESSON… CAMPES SUR LEUR ESPACE VITAL ! / ces courtisans disqualifiés du régime.
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| video Vimeo | 
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| Sylvain_Tesson 2011 Wikimedia Commons Auteur Ji-Elle | 
Impossible, référence faite à la Controverse de Valladolid, d’accepter tant de bassesse dans des arguments aussi vils que lapidaires ! Dans le même ordre d'idées, comment le prétentieux qui se targue d’avoir travaillé 11 ans sur le Mahabharata, ce poème épique éclairant l’hindouisme mais si foisonnant qu’aucun Indien n’aurait eu jusqu’alors le courage d’en entreprendre le décorticage, ne peut-il pas avoir l’honnêteté de réfléchir 5 minutes avant de trompéter un point de vue borné qui n’honore vraiment pas toute une intelligentsia disqualifiée ?







