"...Jean-Christophe Cambadélis est poursuivi pour recel d’abus de biens sociaux dans l’affaire Agos, société gestionnaire de foyers de travailleurs immigrés, il a été bénéficiaire d’un emploi fictif entre 1993 et septembre 1995 qui lui a rapporté plus de 442 000 francs (67 382,466 €), Jean-Christophe Cambadélis fut condamné en janvier 2000 à 5 mois de prison avec sursis et 100 000 francs (15 244,902 €) d’amende par le tribunal correctionnel de Paris.
-Mis en examen le 7 juin 2000 pour abus de confiance dans l’affaire de la MNEF, car soupçonné d’avoir bénéficié d’un emploi fictif au sein de la mutuelle étudiante MNEF entre 1991 et 1995, pour lequel il aurait touché 620 500 francs (94 580 euros) d’une filiale de la MNEF, au titre d’une activité permanente de conseil : « De 1991 à 1993, c’est en qualité de « sociologue » que Jean-Christophe Cambadelis a été rétribué à hauteur de 420 499 francs par la Mutuelle interprofessionnelle de France (MIF), une filiale de la Mnef. Cambadelis était alors député, avec revenus afférents. Non réélu en 1993, il reçoit jusqu’en 1995 quelque 200 000 francs supplémentaires de la MIF, en tant qu’administrateur « chargé des contacts auprès des ambassades ou des universités ». » Seuls « trois documents manuscrits » auraient attesté du « travail » du député.
Le 2 juin 2006, reconnu « coupable de recel d’abus de confiance », il est condamné, à 6 mois de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende, dans l’affaire des emplois fictifs de la MNEF, par la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris..."
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/repris-de-justice-est-ce-un-122207
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