Il s’agit bien de « SINISTRES CRÉTINS » !
Dans ce climat de défiance générale, nous devons aussi
mettre en quarantaine l’administration centrale qui réforme et promulgue au nom
d’une démocratie confisquée. N’hésitons pas à lui signifier que la mise en
question qu’ils suscitent peut déboucher sur un combat institutionnel parce que
la République
ne peut supporter plus longtemps un fonctionnement aussi dévoyé.
A propos des fonctionnaires du ministère de l’Éducation
Nationale, je vous suggérais de lire l’édito de Polony... Extraits choisis :
«Quatre
ministres en deux ans, des débats indignes ou guignolesques, des rumeurs
délirantes et des réformes au mieux insignifiantes, mais commentées deux années
durant. Pendant ce temps, les résultats de l'école française sont toujours plus
accablants, et ce qui fut un système éducatif formidable poursuit sa descente
aux enfers...
...
/... les choix, rue de Grenelle, sont le fait d'une administration
indéboulonnable et figée dans son idéologie depuis le début des années 1980.
Mais justement, on aurait pu rêver d'un ministre qui rendît à la politique ses
droits. D'un ministre qui s'attaquât aux véritables problèmes, l'évaluation des
méthodes d'apprentissage, la formation pluraliste des professeurs, la mise en
avant du mérite et de l'effort
Eh bien, à cause de sinistres crétins, l'école,
la République,
les enfants et la France
attendront. »
Vous avez bien lu : la journaliste parle bien de « sinistres crétins » à propos des ministres et de
l’administration de la rue de Grenelle !
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