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jeudi 28 novembre 2024

BALADE de TERROIR, petits profits d'antan... 2

Petits profits de la garrigue, ces marges, talus pour les Français, qui, avec le plaisir des amandiers fleuris, donnent déjà l'envie des asperges sauvages... à condition de patienter deux mois ou plus... 
 



Petits profits de la garrigue... débris d'un amandier trépassé et souches de vigne dépassée : du bois pour la cheminée sinon une grillade parfumée... peut-être de rouzilhous (lactaires délicieux) si les nuits ne sont pas froides... 


Lactarius deliciosus « très estimé des peuples du pourtour méditerranéen » Wikipédia. Sel, poivre, un filet d'huile d'olive... Une tradition culinaire sudiste. Dans tous les cas, un champignon de bonne tenue quelles que soient les préparations habituelles et surtout au goût unique de garrigue, comme s'il voulait positiver le manque chronique d'eau du ciel...  

lundi 25 novembre 2024

BALADE FAMILIÈRE, les arbres 1

 L'autre nuit, de mèche avec le Mistral, le Cers qui déboule d'un coup ! Hier, suite à un matin calme, à peine une heure après, le Marin soudain et furieux, emportant par deux fois mon béret ; une heure de coupure aussi, pour l'électricité. Dévarilhés, perturbés, affolés nos vents, pour cause de confusion climatique.

L'après-midi, une température idéale pour la balade. Le coin est connu, depuis des dizaines d'années, l'enfance, disons le ; on croit avoir tout vu et pourtant la balade sait toujours apporter sa part de surprises, d'inédit, à commencer par les arbres qu'on ne sait pas toujours voir mais qui accompagnent si bien la vie des Hommes...

« A » comme amandier.

Arbre, ce vieil amandier, toujours là et qui manquerait tant s'il n'y était plus, aux beaux jours, verdoyant, je me promets toujours d'aller le prendre en photo...

Arbre, vieil amandier presque en hiver. Poser la main sur sa peau crevassée, son corps fendu par les années ; lui parler comme à un ami, déclarer qu'on attend son message de fleurs, promesse de renouveau, de beaux jours, au moins lui dire bonjour... 

Arbre, vieil amandier, merci viticulteur de l'avoir laissé même si la mésange n'y niche plus... 

« B » comme boutelhetier :

Arbre, boutelhetier... assez de boutelhets cette année mais seulement peau et noyaux, juste pour le dicton qui dit qu'alors les raisins ne seront pas abondants... 

Arbre, trop beau ce boutelhetier ! 

Arbre, le boutelhetier, l'azerolier manière de vous le mettre à portée, sans quoi ne reste plus que le dico... Souvenir des pâtes de fruit parfumées et des gelées aux feux ambrés ou cuivrés dans leurs prisons de verre, aux couleurs de l'automne annoncé.


samedi 16 novembre 2024

« Un LANGUEDOC FLEUR d'AMANDIER », oraison pour Zorro...

Oraison, oraison... Jean Dujardin ne se met-il pas dans la peau d'un Zorro immortel ? 

Jeudi 14 novembre avec le mot « oraison » à inclure dans ses écrits : 

Vue d'Oraison (Alpes-de-Haute-Provence) depuis La Brillanne 2007 under the Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported, 2.5 Generic, 2.0 Generic and 1.0 Generic license. Author Rainbow0413


Le Golfe du Lion, le Roussillon, un détour en Espagne puisque l'Histoire de notre cousine voisine a tant marqué le caractère languedocien. Ne reste plus qu'à remonter la Têt, passer la Cerdagne, parler de l'Andorre et rejoindre Sorgeat du tome 1, en haut d'Ax-les-Thermes... Un nœud afin de clore et notre circuit dans un SUD prenant ses aises bien qu'encore subjectif, partiel, et la ronde des saisons avec, au village, les vendanges, la rentrée, la Toussaint, le souvenir de 14-18, la Saint-Martin, les chevaux de travail sinon de guerre, les oiseaux migrateurs, les pluies parfois déluges mais promesses de champignons, des rouzilhous, les lactaires délicieux et parfumés de la garrigue. Non, pas d'oraison dans ce projet, surtout pas suivie de « funèbre » ; non, vu que « Oraison »figure dans « Un Languedoc Coquelicot » tome 2  ; c'est le bourg au bord de la Durance, sur sa colline à tous les vents, là où l'olivier ne veut pas dépasser les 650 mètres d'altitude...  

Vendredi 15 novembre : le mot imposé est « plume » : 

Autre fil rouge, en pointillé bien que primordial concernant l'identité sudiste, l'invitation aux références occitanes, à propos de plumes, d'auteurs qu'accompagnent des mots usuels et familiers d'une vie languedocienne à transmette absolument aux générations nouvelles. 
Dans notre premier volet augurant de la tétralogie entreprise (oh ! la prétention !), l'amandier en fleur, déterminé (les premières le 7 janvier 2023, plus encore les jours suivants bien que sur le même arbre pionnier) brave la mauvaise saison, tempère l'impatience de ce qui vit, sème l'espérance en vue du renouveau à venir ; réchauffement climatique ou non. L'amandier ? inébranlable ! A rapprocher du messager envoyé aux croyants pour Noël parce que les jours rallongent vers toujours plus de lumière. Messager aussi dans une lucarne en noir et blanc pourtant magique, ce cavalier qui surgit hors de la nuit sur son cheval, avec sa cape, son loup, noirs dans le noir... 

Zorro_(Character)Domaine public Author Matheus95


mardi 23 avril 2024

Marcel Scipion (1922-2013) / 4. Sale temps pour la Planète.

Sale temps pour la Planète ! Faut faire le dos rond, résister... 

fèves de la mi-avril / Fleury-d'Aude. 

Il faut des circuits courts, il faut retrouver le bonheur de manger ce que donnent un jardin sain et la ronde des saisons... Marcel Scipion et bien des auteurs, par ailleurs si commodément traités de régionalistes, à l'accent un peu moqué, au passéisme compassé, aux idées déconsidérées. Le candidat à la présidentielle de 1974, René Dumont (1904-2001), ça vous rappelle quelque chose ? Il prédisait dans sa campagne que l’eau trop gaspillée allait manquer « Je bois devant vous un verre d’eau précieuse ». Nous lui avons ri au nez, au sien et à celui de ceux, qui déjà alertaient de la mise en danger de la Planète, déjà avant 1980. Les années étaient alors, encore si Glorieuses ! Et nous, plutôt piteux non ? comme toujours... à clouer au pilori, à écraser au pilon celui qui a eu le tort de dire trop tôt « Le premier qui dit la vérité... » (Guy Béart 1930-2015).  

Mais l'homme ne vit pas que de nourriture terrestre. Aussi au risque de passer pour un ethnocentré (qu’importe, c'est moins grave que la consanguinité jacobine), autant, en guise de consolation, se laisser aller à apprécier notre penchant méditerranéen. Le littoral oui, la façade, mais le pays derrière aussi, comme si ce Sud n'offrait au touriste que sa surface, sa peau bronzée à l'interface de la mer, comme si la compréhension intime du Méridional, sa vérité profonde se trouvait dessous, sous la peau, avec l'arrière-pays qui en fait, s'aborde vite, dès la côte de la Clape, à Saint-Pierre-la-Mer, en direction de Fleury, le village. Ensuite, cela n'en finit pas de monter, l'altitude vient vite chez nous, la mer de vignes une fois traversée : Corbières, Pyrénées, Montagne Noire, (Avant-Monts oubliés) Espinouse, Cévennes, Monts de Vaucluse, Préalpes de Digne ou de Castellane, Alpes franco-italiennes (1), Maures, Esterel, avec une végétation qui rompt avec les garrigues et maquis... Une diversité, une variété de paysages que nous envient bien des coins aux paysages et climats plus homogènes... On y retrouve le caractère, l'âme sudistes, certes, avec ses variantes, mais aussi l'amour du pays, un amour pour son coin de terre banal, de partout, ici comme ailleurs, sous toutes les latitudes... C'est inconditionnel un amour, non ? « L'odeur de mon pays était dans une pomme... » Lucie Delarue-Mardrus (1874-1945). Le mien d'amour était dans une grappe... de carignan... il l'est resté... 

Gabachs ou gavots, partout des montagnards de quand la montagne était belle. Et ces mots, cette langue qui se doit de résister tant qu'une domination d'un autre âge n'a de cesse que de l'effacer pour ne pas qu'il soit dit qu'elle a été soumise... tartuferie cynique des gens de pouvoir... trop Paris et franciliens...  

"Dijous ma finestro i a un ametlièr que fa de flours blancos coumo de papièr"... 
(Sous ma fenêtre pousse un amandier qui fait des fleurs blanches comme du papier)

Bombus_terrestris_queen_-_Tilia_cordata_-_Keila Estonia 2016 Creative Commons Attribution-Share Alike 4.0 International Author Ivar Leidus

Et ce n'est pas parce qu'entre la science, le réchauffement climatique et l'épuisement des nappes phréatiques, l'amandier pousse plus au nord qu'il en a perdu pour autant sa portée symbolique, une chose qu'ils ne prendront pas. Que deviendrait la promesse des fleurs si les pollinisateurs n'étaient plus ? Certes, la pensée réflexe, anthropocentrée à l'excès, fait aussitôt vrombir les abeilles domestiques. Ce n'est pas négatif en soi, mais comment alors, entendre le froufrou discret de la solitaire, de l'abeille sauvage ? On connaît le bourdon pourtant. Il n'est pas seul, les espèces se chiffrent autour du millier, seulement en France ! Oh ! elles sont solitaires, ne font pas de miel, tiennent un an et meurent suite à la ponte... Oui mais elles pollinisent... Sans elles, plus de cerises, d'abricots, de pommes, d'amandes, plus de tomates, d'olives... (2)

Avec la contestation d'une gouvernance toujours pour le système, le soutien aux agriculteurs s'est avéré massif. Un bémol pourtant... les déserts biologiques, les insecticides néonicotinoïdes, à l'excès, les pesticides chimiques, les monocultures (non aux mégabassines !), le fauchage précoce, l'appel aussi désespéré que discutable aux apiculteurs pour des abeilles qui s'empoisonnent et dégénèrent biologiquement, une réponse malheureusement comparable, en efficacité, à l'impuissance toujours plus marquée des antibiotiques chez les humains. 

Zut à la fin, le jardin est petit mais sera mieux fleuri ; et pour les bourdons et abeilles sauvages qui ne pondent pas sous terre, le centre creux des carabènes (arundo donax) pour abri leur sera proposé. 

(1) même si ma quête n'a pas abordé la Sainte-Baume, le Var, les Maures et l'Esterel... 

(2) Que deviendrait l'occitan si les pollinisateurs n'étaient plus ? Sauf que les frelons jacobins de la France une et indivisible bourdonnent tant ils espèrent, même s'ils n'osent le dire ainsi, l'étouffement final, bipolaires qu'ils sont à promouvoir chez les étrangers ce qu'ils garrottent intra muros. Alors les bourdons et abeilles solitaires se débattent, s'épaulent, se fédèrent, pour passer le flambeau... la bêtise d'orgueil  est intolérable, incompatible avec l'évolution des esprits une grande espérance, une délivrance à venir qui ne peut qu'aboutir, à terme, à long terme, un jour...   

samedi 18 février 2023

LE MESSAGER DES JOURS NOUVEAUX...

« … Dessús ma fenèstra      Au-dessus de ma fenêtre

I a un ameliè                          Pousse un amandier
Que fa de flours blancas         Qui fait des fleurs blanches
Coumo de papièr… »            Comme du papier...          Gaston Fébus 

Référence à Gaston Fébus (1331-1391) (Fébus avec un "Feu" : le "ph" n’existe pas en occitan) qui parlait le béarnais mais écrivait en principe en français (« Livre de Chasse »). On lui attribue les paroles en langue d’oc de « Se canto » devenu chant de rassemblement assimilé à ce qui serait désormais l’hymne occitan... 

17 février 2023.

Un matin calme, pas un souffle... à entendre le bruissement joli des abeilles, entre pétales, étamines et gynécées... Oh ! 8000 kilomètres plus au Nord... 


Depuis le coteau donnant sur l'Aude, la " rivière ", Loulou, Gérard et moi vous envoyons le bonjour du plus imprudent des amandiers !  

L’amandier ? faut toujours qu’il fasse son petit original celui-là. Cette année, Loulou le copain d’enfance a photographié les premières fleurs le 7 janvier, en haut d’un arbre (pas Loulou !). Le 12, l'original devait confirmer sur ses branches du bas, presque drageons... (sur un talus, non taillé, laissé à son développement naturel). Gérard, encore un de ces copains qui vous fleurissent la vie depuis l’enfance, témoigne du même, alors en pleine fleur... Alors il suffisait d’attendre qu’après l’éclaireur, tous ses comparses se décidassent à faire de même, à grossir les rangs au bord des vignes, sur les talus, au-dessus d’un mur de pierres sèches abandonné dans la garrigue... Peut-être qu’à Caboujolette, après l'émouvante croix de pierre, ceux de Bernard et Jean, centenaires, au tronc imposant d’amandiers domestiques, attendent de montrer leurs plus beaux atours, posément, une fois la frénésie des sauvageons passée ? 

« Vous êtes pressés ? mais faites donc... » semblent-ils dire...

Que mon impatience ne passe pas pour de l’agacement... finalement, du côté De Sorbas (Almeria), les amandiers de Diego fleurissent à peine aussi.  

Rien n’est réglé, programmé, cette année c’est bien la première fois que j’observe (même de si loin) un décalage de plus d’un mois entre les premiers et le gros de la troupe : l’amandier des copains d'abord a attendu en vain le renfort, tel Roland à Roncevaux.

Oungan, cette année, il a fait mentir le proverbe « Imprudent coumo l’amelier »... inutile de traduire... 


Le petit amandier de l'Horte (voir sur "J'aime Fleury..., les photos 2023 d'Elena). En 2017, il avait fleuri le 2 février (l'année 2020 n'apparaît que pour une retouche de ma part immodeste à la beauté sans fard... 

Ils se décident enfin, depuis deux ou trois jours, Bettina s’est arrêtée exprès à Lespignan, Anne-Marie a pris les siens aux fleurs roses, dans la garrigue de Saint-Pierre-la-Mer, Evelyne me dit qu’en Provence, entre Le Luc et Gonfaron, ils ont fleuri, Bertrand confirme que sous un soleil plus brillant, les parures blanches ou roses, si généreuses voudraient chanter que notre joie demeure, si n’étaient les soucis, les remords. Et Elena, sitôt posées les valises, en a voulu plein les yeux !

On l’attend, on la pressent, on la patiente, éblouissante elle reste, pourtant, cette floraison, à plus d’un titre, pour son éclat, son côté bohème aussi, affranchi, qui n’a pas à demander la permission, parce que, tant qu’elle se manifeste, elle dit avec éclat que la nature est belle, que la Terre et la terre ne font qu’un... A nous de penser, s’il n’est pas trop tard, qu’il est criminel de faire disparaître les fleurs, les insectes, les oiseaux et tous les animaux qui ne pourront pas s’adapter au déséquilibre brutal, à la catastrophe climatique trop rapide par notre faute...  

« … Regardez les branches,
Comme elles sont blanches.
Il neige des fleurs… » Théophile Gautier (1811-1872). 

À Lespignan, capté par Bettina... 

dimanche 7 juin 2020

MARCEL SCIPION, Le Clos du Roi.


Un Clos dit “ du Roi ”, un vallon où emmener les moutons l'été à transhumer. Faire son pain mais pas pour rigoler (50 kilos de farine, 15 jours de miches pour la dizaine de personnes d'une famille élargie), faire ses patates, ses choux, son miel, sa médecine même avec les limites qu'on sait, son vin, distiller son marc en fraude, braconner les sangliers, le lièvre les nuits glacées de pleine lune malgré les gendarmes... Et tout ça conté presque au coin du feu... Oh c'est rustique, presque un cliché pour citadin mal à l'aise, rêvant d'un retour impossible à la nature... 

Pourtant cette prise de conscience ne date pas d'hier. Il y a bien 50 ans qu'elle s'est formée. Une extravagance de nantis au début mais qui petit à petit devient une obligation sans quoi nous allons à la catastrophe de plus en plus annoncée. De timide, le changement de cap devrait se préciser avec moins de bagnole, moins de produits, finie l'obsolescence programmée, il faut des circuits courts, il faut retrouver le bonheur de manger ce que donne un jardin sain... On ne parle de sa vie que parce qu'il y a eu rupture ; Marcel Scipion et bien des auteurs bêtement traités de régionalistes ont pris conscience de la mise en danger du planétaire, de l'universel, déjà avant 1980.  

Mais l'homme ne vit pas que de nourriture terrestre. Aussi au risque de passer pour un ethnocentré (je m'en fous c'est moins grave que le nombrilisme jacobin), je me laisse aller à apprécier notre penchant méditerranéen. Le littoral oui mais l'arrière-pays surtout, qui aborde vite l'altitude, chez nous, Corbières, Pyrénées, Montagne Noire, Espinouse, Cévennes, Monts de Vaucluse, Préalpes de Digne ou de Castellane avec une végétation qui rompt avec les garrigues et maquis. 

Gabachs ou gavots, partout des montagnards de quand la montagne était belle. Et ces mots, cette langue qui se doit de résister tant qu'une domination d'un autre âge n'a de cesse que de l'effacer pour ne pas qu'il soit dit qu'elle a été soumise... 
"Dijous ma finestro i a un ametlièr que fa de flours blancos coumo de papièr"... 
Et ce n'est pas parce qu'entre la science, le réchauffement climatique et l'épuisement des nappes phréatiques, l'amandier pousse plus au nord qu'il en a perdu pour autant sa portée symbolique.  


mardi 4 février 2020

LA BALADE DE TONTON / Fleury-d'Aude.

Il y a plus de vingt croix et calvaires sur le territoire de la commune. Comment s'appelle celle-ci, vandalisée comme tant d'autres parce qu'en amont des gens fortunés et collectionneurs, sans plus de scrupules que les exécutants de base, encouragent les malfrats à écumer un vieux pays riche en témoignages mais si démuni pour se préserver ? 


Et celles-là qui, grâce au zoom, se donnent des airs de dahlias, qui sont-elles ? 


Merci tonton pour la balade et les photos ! Maintenant si tu veux qu'on t'aide pour ton régime...

mercredi 27 février 2019

COMME UN PARFUM D'AMITIÉ & DE PRINTEMPS... / Fleury-d'Aude en Languedoc.

Le soleil de février prenant sous sa coupe tout le ciel du Sud, des rives de la Méditerranée aux cimes des Pyrénées, promet déjà des jours meilleurs.

Merci  à tous ceux qui savent voir et partager, à la mer, à la montagne ou dans les vignes... 






Merci Roger-Marc, Alexia, St-Pierre...




 

Merci Laeti, Viviane... 
















Merci Bettina, Fabien, Gérard, Martine, Véronique... 

Extrait Géoportail

Merci à Émilien qui a retrouvé Caboujolette !


Merci Sylvain même si je te vois traumatisé par la raclée prise contre le XV d'Angleterre !