Le pays de certains gallinacés sûrement, de ceux qui braillent fort sur leur tas de fumier... il y en a un qui me houspille sur Agoravox : pour avatar il a une tête de gaulois avec le casque qui va avec... il ne lui manque que la francisque !
Pour ceux qui me font la gentillesse de leurs
suggestions, concernant le troisième volet de la France rance, j'ai
remplacé mon haut de chapeau :
" Après avoir bien prospéré au cours du XXème siècle, quelles que soient les circonstances, Gallimard reste surtout un faiseur de fric qui s’oppose à la nouvelle opportunité culturelle offerte par l’Internet, juste pour la raison que ce qui est gratuit, c’est du chiffre d’affaires en moins. N’oublions pas que le système traditionnel sur lequel s’arc-boutent les éditeurs installés, verrouille l’expression littéraire : seulement trois centaines d’écrivains vivent de leurs droits d’auteurs tandis que l’indigence de milliers d’autres n’indigne personne. Sur ce point, l’expression littéraire dépend d’abord du sens des affaires et accessoirement du talent alors que sans les auteurs, la filière n’existerait pas... Cette main-mise absolue s’avère d’autant plus intolérable qu’elle s’arroge le droit d’imposer ce qui est beau et bon pour tous, tout en manifestant un vil mépris pour le reste. Cela relève toujours du caporalisme jacobin voulant étouffer le fédéralisme girondin : la place exclusive du français, l’espace refusé aux langues régionales y participent..."
" Après avoir bien prospéré au cours du XXème siècle, quelles que soient les circonstances, Gallimard reste surtout un faiseur de fric qui s’oppose à la nouvelle opportunité culturelle offerte par l’Internet, juste pour la raison que ce qui est gratuit, c’est du chiffre d’affaires en moins. N’oublions pas que le système traditionnel sur lequel s’arc-boutent les éditeurs installés, verrouille l’expression littéraire : seulement trois centaines d’écrivains vivent de leurs droits d’auteurs tandis que l’indigence de milliers d’autres n’indigne personne. Sur ce point, l’expression littéraire dépend d’abord du sens des affaires et accessoirement du talent alors que sans les auteurs, la filière n’existerait pas... Cette main-mise absolue s’avère d’autant plus intolérable qu’elle s’arroge le droit d’imposer ce qui est beau et bon pour tous, tout en manifestant un vil mépris pour le reste. Cela relève toujours du caporalisme jacobin voulant étouffer le fédéralisme girondin : la place exclusive du français, l’espace refusé aux langues régionales y participent..."
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