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mercredi 12 février 2020

LE VICE DU NOUVEAU RECTEUR... / Mayotte en Danger !

 Un haut-fonctionnaire au service de l’État devrait apparaître impartial et neutre par rapport aux politiques en charge de mener le pays. Aussi en entendant ce qu'a osé dire Gilles Halbout, le recteur frais émoulu de la nouvelle académie de Mayotte, je me dois de réagir.

Ses propos du 10 février 2020, au journal télévisé de Mayotte Première (l'absence de majuscules est volontaire) :

"... Je voudrais quand même rappeler que cette réforme elle faisait partie du programme du président de la république qui a été élu, 1er au premier tour, 1er au second tour et aujourd'hui... et aujourd'hui il est normal de l'appliquer. Je dirai aussi que c'est une réforme qui va vers l'universalité, qui permettra des passerelles donc il faut regarder maintenant au-delà..." 

https://la1ere.francetvinfo.fr/mayotte/emissions/jt-du-soir-en-francais (5ème minute / l'absence de majuscules est volontaire) :
Ce n'est pas long, pas compliqué et les choses simples s'énonçant clairement, monsieur le Recteur ne cache pas qu'il est macronien, tout acquis à la politique de son patron.  Oui de son patron puisque la tendance, depuis Sarkozy, étant de mettre des partisans à la tête des administrations pour moins de grippages et plus d'efficacité, à l'image des États-Unis lien, on se retrouve petit à petit avec un exécutif qui chasse l'ancienne administration pour mettre à la place ses équipes de fidèles affidés plus zélés encore parce qu'ils doivent leur ascension professionnelle, qu'ils doivent tout au nouveau pouvoir.
Voilà monsieur le professeur d'université, Gilles Halbout, agrégé de mathématiques de classe exceptionnelle, puis président (décembre 2016) d'un machin de communauté d'établissements et universités du Languedoc-Roussillon, oui un machin de 2014 puisque dissout  au 1er janvier 2020 lien... c'est dire... les économies qu'on doit à nos élites... Oh la coïncidence puisque à la même date le vice-recteur (nomination de juillet 2019) devenait recteur à part entière.

Franchement depuis Constance Cynique (Nathalie Costantini) au charlatanisme aussi démagogue que paternaliste, je ne pensais pas devoir encore jeter ma pierre. Devrait-on reconnaître qu'il y a plus d'argent, contrairement à ce qui se faisait sous Hollande, dans la lignée, lui aussi, des pères Noël menteurs, il faut dire aussi que tant qu'ils s'entêtent à jouer les Shadoks ne voulant pas désamorcer la pompe de l'immigration, le manque de profs, le sureffectif (1600 élèves à Tsingoni dans un collège 800) et surtout l'insécurité demeureront chroniques sinon pires.
Avec Stephan Martens, le prédécesseur qui devait porter l'émancipation de Mayotte, en poste quelques mois seulement lien pour cause d'incompatibilité avec l'île, et qui voulait et la piscine chez lui et le bateau sur le lagon, comme le préfet, et qui, en attendant coûtait un pognon de dingue en logeant à l'hôtel, le comportement petit-blanc prêtait plus à sourire (sous couvert de raisons personnelles il a été rappelé à Paris).

Là avec quelques mots profonds, calculés c'est plus pernicieux. Sans m'attarder sur cette triste réforme imposée, (et ce ne sont pas les arguments qui manquent pour la refuser... au point que même des députés Larem démissionnent), mais qui n'est que la forme du mal, prenons garde qu'avec des députés godillots, au perchoir un président du législatif sans aucun sens de l'honneur ou des Delevoye de sac et de corde qui ont trop le sens de l'argent, une haute fonction aux ordres vient attester que de prétendus serviteurs de L’État tirent la République dans le fossé de la démocratie dévoyée, du tout pouvoir autoritaire avant que n'advienne une "démocrature" sinon pire s'il faut toucher le fond.

Monsieur le recteur de Mayotte, ce ne sont pas vos 10 ou 15 000 euros mensuels (et n'est-ce pas trop payé en regard d'un classement PISA médiocre, 23ème sur 79 pays (8ème en 1990) ?) qui vous autorisent à dénigrer des parents soumis aux rotations (2 classes pour un local / les mêmes infos du 10 février parlent du collège de Tsingoni), qui constatent que la nouvelle mouture du bac décentralisé va encore plomber et rabaisser les établissements défavorisés. Monsieur Halbout Gilles, vous n'aviez pas non plus à vous muer en propagandiste d'un président légal mais certes pas légitime, par rapport à des enseignants qui vont encore perdre, à terme près de 30 % d'un salaire déjà moins que moyen pour l'OCDE.

L'expression de votre fidélité pour dire n'importe quoi ou taper en touche a pour le moins manqué de finesse...

Les derniers hauts fonctionnaires devant faire allégeance ? Ce devait être sous Pétain non ?   


mardi 10 avril 2018

VICE-RECTORAT DE MAYOTTE : des BAVARDS SOURDINGUES !




Le vice-rectorat envoie une nouvelle voix dans les médias, un nommé Giraud. 
 
Florilège de la logorrhée démagogique de hauts-fonctionnaires décalés, dingues et sourds : 

« … Rapprocher les élèves ça ne se fait pas partout, à Mayotte ça peut se faire…/… On a mis des outils en place pour que l’école puisse fonctionner ; modules de scolarisation. Remettre du respect de la solidarité c’est un premier temps, un temps d’accueil… »

« Trois élèves qui entrent à Sciences-Po… » (Idée émise que pour 1000 ce n’est  peut-être pas autant en métropole…)

Pour l’engorgement en fac à cause de l’année compromise et des bacheliers qui arrivent : une partie des 140 postes créés cette année sera gardée.

Et surtout toujours laisser penser que les parents qui contestent et protestent contre le fonctionnement de l’école à Mayotte ne la défendraient pas tandis qu’eux, eux qui embrouillent, la font trébucher avec des réformes « à la merde à la con » et ne se remettent jamais en question, ne seraient en rien responsables. Toujours à ne parler que de ce qu’ils ont fait et non du retard contre lequel ils manquent de volonté.

Encore heureux de ne pas entendre Giraud dans le prolongement des propos indignes de Costantini, la vice-recteur, excusant le sureffectif des classes, possible ici parce que les enfants de Mayotte sont doux et gentils. La même arguant même que la réforme des rythmes ne gêne en rien puisque dans les familles plus élargies ici, il y aurait toujours un tonton ou une mémé pour assurer les navettes entre les heures de classe et de pause méridienne (les sources ont fait l’objet d’articles antérieurs sur cette page même dont le dernier en date : 

https://www.facebook.com/MayotteEnDanger/posts/2147281128617244).

Enfin n’oublions pas la déconsidération de leur part pour les parents de Mayotte, la provocation même dans l’annonce de chiffres biaisés laissant croire que les établissements scolaires auraient à peu près fonctionné malgré les barrages. Voudraient-ils laisser entendre que la révolte contre l’insécurité et les injustices ne serait pas légitime qu’elle ne parlerait pas autrement. 

La vie du pays est aussi à l’école mais plutôt que de conditionner nos jeunes têtes au consumérisme (laissons les enfants en dehors des problèmes des adultes qu’elle disait…), cultivons l’esprit de la Liberté guidant le peuple avec ce garçon devant mourir sur sa barricade, honoré par Hugo qui lui trouva un prénom, Gavroche…   

mercredi 14 février 2018

DENIS, LE DOIGT SUR LA COUTURE ! / La déséducation nationale à Mayotte.


De nouvelles têtes montent au front au vice-rectorat. C’est d’autant plus compréhensible qu’il semblerait qu’il y ait eu un départ à la retraite, peut-être en septembre dernier… forcément discret quand on constate la défiance des administrés à l’encontre d’une administration administrant en rond, déphasée, toujours plus éloignée des préoccupations citoyennes, légale certes mais à la légitimité très contestable. 

La webzine « Vousnousils (1) » nous en informe le 29 juin 2017 lors de l’interview de Denis Lacouture encore secrétaire-général du vice-rectorat de Mayotte.
Restez assis ! Ne vous étouffez pas ! 

Constatant que le premier des problèmes « …est d’enseigner en français à des élèves dont ce n’est pas la langue maternelle… » le haut-fonctionnaire tempère avec des résultats au bac « … Nous avons un baccalauréat qui est strictement le même qu’en métropole, avec des résultats tout à fait convenables. Des résultats qui s’améliorent même au fil du temps… »
Deuxième problème :  « une très forte pression démographique »
Autre problème : «  … que nous partageons un peu avec l’Académie de Créteil […] à peu près 50 % de professeurs contractuels […] Plus le nombre de contractuels augmente, c’est-à-dire moins on a de volontaires pour venir travailler à Mayotte, plus les enseignants ont des revendications sur les salaires et les carrières. Les quelques inspecteurs qui soutiennent ce mouvement, à une exception près quittent le territoire ou partent à la retraite. Un peu d’amertume sans doute… »
Sa solution : «… La véritable réponse consiste, par la formation professionnelle, initiale et continue, à faire émerger de Mayotte les forces vives en terme d’éducation. Nous ne pouvons pas tout attendre de la métropole ! Les jeunes Mahorais doivent très rapidement embrasser les carrières d’éducation grâce à la formation puis grâce à l’université, qu’elle soit à la Réunion ou en métropole et qu’ils reviennent ensuite pour enseigner à Mayotte… »
Son bilan à Mayotte : « … Je garderai l’impression d’avoir été utile comme j’ai pu l’être au Niger, par exemple, où j’ai participé, en cinq ans, à l’ouverture de 180 écoles. À Mayotte j’ai eu l’impression d’être utile car des enfants nous arrivent toute l’année, nous avons le challenge de scolariser tous les enfants. J’ai participé à cela et j’en suis fier.
 Le rapport du métropolitain en responsabilité sur un territoire aussi lointain et aussi différent est compliqué au regard de l’histoire. Vous avez parfois l’impression d’imposer à des gens, même s’ils l’ont demandé, même s’ils se sont exprimés pour être Français, un mode de fonctionnement, de pensée et un système éducatif qui pourraient ne pas être le leur. Il manque un dessein politique pour Mayotte. J’aimerais voir dans les années à venir une vraie réponse politique au problème mahorais. Il y a tellement de retard, c’est difficile à combler… » 

C’est bien dans la logique de ces tristes personnages qui se disent « grands commis », « serviteurs de L’État » mais qui en réalité servent avant tout les intérêts de leur caste, véritable Etat dans l’Etat ! Tançons-le, point par point.  

1)      Le problème du français n’en serait pas un, les résultats au bac en attestent. Il eût été plus intelligent de relever dans notre plurilinguisme la capacité d’apprentissage d’autres langues étrangères.

2)      « UNE FORTE PRESSION DÉMOGRAPHIQUE » Comme c’est dit en se pinçant le nez ! Toujours ce parti pris d’enfumage, ce dessein malhonnête de camouflage de la réalité ! Rien bien sûr sur le problème de l’immigration clandestine  massive ! C’est que « chez ces gens-là », l’honnêteté, le courage ne sont pas des vertus. A côté de ces lâches, il faut citer par exemple ces généraux tels Pierre Renault, viré pour avoir dénoncé l’état déplorable des matériels de la Gendarmerie, ou encore le général Bertrand Soubelet auteur de « Tout ce qu’il ne faut pas dire » versé d’abord par mesure disciplinaire à l’Outre-Mer (!), finalement viré ou mis à la retraite d’office et qui en a conclu : 

« Pour être mis à l’écart dans ces conditions, j’ai l’impression de constituer un danger pour mon pays, ce qui m’amène à réfléchir à mon avenir immédiat et à la manière dont je vais continuer à servir la France. […] Je tire la conclusion que L’État a suffisamment de compétences et de talents pour payer des responsables d’un certain niveau à ne rien faire. » (source Le Monde avril 2016)

Un inspecteur ne m’a-t-il pas dit « Entre sa sécurité et son honnêteté un fonctionnaire doit choisir sa sécurité ! » Fermez le ban ! 

3)      Quant à partager « un peu avec l’Académie de Créteil », c’est toujours cet aplomb à minimiser les problèmes, le pourcentage de contractuels, cette posture à se rattacher à une relative normalité. Et ces inspecteurs historiquement au pli et qui, fait unique, se sont rebiffés, notre Denis le doigt sur la couture, les rabaisse, lui, en tant que velléitaires partant ailleurs ou prenant la retraite. 
Oui, certains retraités tiennent à partir en se rachetant un peu ce qui n’est visiblement pas le cas de Lacouture ! 

4)      Sa solution ! Que les Mahorais se forment et viennent enseigner aux Mahorais ! Il aurait lâché « Que l’Afrique se prenne en main ! » l’effet n’aurait pas été autre ! C’est qu’il la connait l’Afrique, Lacouture ! 16 ANS ! rendez-vous compte dont le Niger et la Mauritanie avec des traitements avantageux pour les coopérants, sans doute pour encaisser aussi les manquements aux droits de l’Homme liés à ce pays, dont l’esclavage… Ses assertions sur le statut a minima des enseignants mahorais va complètement à l’encontre des principes républicains ! Et puis, que n’a-t-il laissé sa place de secrétaire-général à un local ! Croit-il que le résultat eût été pire ?

5) SON BILAN. Enfin ramené à plus de modestie il n’a que L’IMPRESSION d’avoir été utile. Pourtant, il est FIER, le bougre, d’avoir entassé des enfants quel que soit leur nombre, au cours de l’année scolaire !
Que va-t-il nous chercher «…un territoire aussi lointain et aussi différent… » ? La France ne doit-elle pas assumer son Histoire ? Ce ne sont quand même pas les Mahorais qui sont partis coloniser un territoire aussi lointain et différent du leur que la France ! On croirait encore entendre monsieur Françafrique, chevalier de la Légion d’honneur s’il vous plaît ! Évidemment que les Mahorais veulent la même éducation qu’à Pétaouchnok, que partout en France ! Mais il y a tellement de retard, monsieur Lacouture, surtout à cause de L’État et des hauts fonctionnaires qui tablent plus sur leur sécurité, leur rente de situation, que sur l’intérêt général ! 

On ne se rebiffe pas, monsieur, parce qu’il faut faire un mur tant l’insécurité est grande (2) ! 

On n’impose pas, monsieur, une lamentable et véreuse réforme des rythmes alors qu’on cherche encore les 600 classes promises par Hollande et que 80 % des établissements ne sont pas aux normes, ce dont vous êtes responsable, monsieur, en tant que "grand commis" de l’État ! 
     
Hier à Questions pour un Champion, l’animateur était impressionné par la formule de Cicéron « L'éloquence est la lumière qui fait briller l'intelligence ». C’est vrai que les bons orateurs nous feraient prendre des vessies pour des lanternes et sur ce plan là, la vice-recteur n’en est qu’à la breloque de base (la légion d’honneur). Néanmoins, pour tout dire, votre éloquence n’est que l’art d’embellir votre logique (3) sauf que votre logique si asociale ne peut que rester vilaine… 

Il y a plus d’humanité, monsieur, dans la vérité d’un général viré que dans la vilénie d’un renégat ravi.  


(1) « Vousnousils » webzine gratuite donc dépendante de nos impôts, donc forcément propagandiste… 
(2) Alors que Lacouture avait rétorqué qu'il n'était pas là pour construire des murs, après Kahani, Tsararano, nous apprenons ce matin même que les personnels du collège de Bandrélé exercent leur droit de retrait suite à des violences au sein de l'établissement.
(3) "L'éloquence n'est que l'art d'embellir la logique." Denis Diderot
 

jeudi 8 février 2018

LA QUILLE BIENTÔT POUR LA VICE-RECTEUR ET SA CLIQUE ! / La Déséducation Nationale à Mayotte

Vous avez vu à la télé ? Une nouvelle tête en renfort au vice-rectorat, la relève. Bien de sa personne, beau parleur avant tout (chez ces « gens-là » c’est primordial !)… Une nouvelle ventouse de la part des céphalopodes  de la déséducation Nationale… On ne voit plus que lui pour suppléer aux apparatchiks habituels visiblement émoussés, sans plus de venin, en réserve comme la vice-recteur en récupération derrière les lignes…
Auraient-ils la tête dans les pieds ? Sûrement. Ils se requinquent à l’arrière mais pour mieux rebondir dans la nouvelle affectation, la promotion bien méritée après des années de tranchées. Trancher dans le vif ? On attend encore exception faite de la grande offensive de la réforme des rythmes avec pour résultat tant de combattants décimés et le désespoir désabusé des survivants dans un paysage scolaire bouleversé. Tout ça pour « … une troisième étoile au c… sinistre qui commande la division de marche et qui a nom B… de M… ». Pardon Pergaud pour ce parallèle indécent avec la Grande Guerre mais ici le nom de guerre de la c… sinistre est Constance Cynique, général pète-sec du droit dans les bottes administratif, la vice-rectrice Nathalie Constantini, fière, selon ses dires, de ce qu’elle a fait. 


Écoutons par exemple ce qu’elle radotait en janvier 2015 sur la « guerillera » urbaine (ce sont ses mots [14 minutes 50 secondes de la vidéo]) sévissant, selon ses dires, à l’extérieur seulement des établissements scolaires. Elle ajoutait « Nous avons une équipe mobile de sécurité qui fait un travail remarquable… » Trois ans plus tard nous n’avons plus de nouvelles de ces commis au nettoyage des tranchées…
Vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=O1LR98PirWc&feature=youtu.be
Article :
https://dedieujeanfrancois.blogspot.com/2015/01/mayotte-en-danger-les-guerilleros.html
Par contre, hier les instits étaient en grève, les profs de Kahani et de Tsararano faisaient valoir le droit de retrait…
Pour Kahani, un parent d’élève parle d’année blanche avec, après les deux semaines sans cours avant Noël, trois semaines actuellement… « … l’Etat nous abandonne partout dans l’île, nous sommes les oubliés de la République, tout le monde s’en fout. Ils parlent de double clôture, d’un déplacement du hub donc du problème, de gendarmes sur le hub à condition qu’il n’y ait pas d’autre urgence sur l’île… cinq surveillants pour 1500 élèves … » Mais où est l’équipe mobile de sécurité » ? La vice-recteur est bien silencieuse sur les retombées du « travail remarquable » mis en avant en 2015 !
Comme le fit le ministre Peillon, ils se veulent tout feu tout flamme sauf que la poudre d’escampette ne pète pas. Ils vont voir ailleurs après avoir semé la pagaille, en faisant mine de ne pas laisser voir que ce n’est pas prendre ses jambes à son cou… de toute façon, le recasage des nomenklaturistes, de l’administration comme des  politiques est révélateur de la démocratie qu’ILS nous confisquent !   
Vivement la quille pour ces ennemis du peuple !  

Note : ils sont au moins deux dont celui avec une barbe blond-roux aux infos ce soir. Il nous dit qu'on est les meilleurs avec un service civique damant le pion à bien des départements métropolitains ! YOUPI !