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samedi 3 août 2024

INDIEN des vieilles LUNES, le voyage en TCHÉCO (7)

Mercredi 19 juin 2024 (suite)

À parler du climat, ici ce serait le climat océanique “ dégradé ”… un souci de précision pour une palette de nuances qui ne comptent que ponctuelles lorsqu’elles ne relèvent pas des microclimats.

7h 30, il pleut toujours. « Openfields » disaient nos professeurs (1) à propos des paysages et des cultures, du blé, du maïs (moins qu’avant), des betteraves (sauf erreur de localisation, dans le secteur, une des deux usines à sucre Tereos vues en France depuis la route, de cette même multinationale, deuxième groupe sucrier mondial, également implantée en Tchéquie ; la cousine y était secrétaire de direction), de l'élevage laitier (fromage de Brie), du vin (vin de Champagne dont l’appellation multiple compte nombre de terroirs, de cépages, sur plus de cent kilomètres du nord au sud). 

Faux-sur-Coole 2006 under the Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported license Author Hannes

À noter pour cause d’itinéraire, lui-même ne jurant que par la blanquette de LIMOUX… que Dom Pérignon n’a finalement fait qu’importer le procédé donnant l’effervescence, d’une abbaye bénédictine à l’autre, de celle de Saint-Hilaire dans l’Aude à celle de Saint-Pierre-d’Hautvillers, au sud de la Montagne de Reims, où une poignée de moines tirait le diable par la queue ; en découle l’expression usurpée d’une “ méthode champenoise ” qui n’est qu’audoise. 

Sézanne_panorama, 2011 under the Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported license. Auteur Diliff

Remettons la au milieu du village, l’église, visible en 1965 dans la traversée de Sézanne avant le déroutement extérieur (tous ces camions, ce devait être infernal) ; entre ses contreforts, des ouvroirs artisanaux ou échoppes, un peu comme chez lui, autour de l’église Saint-Martin, avant la suppression de ces verrues : un détail peut-être mais une caractéristique confirmant que l’Occitanie est française par force, depuis ce temps où l’occident chrétien se couvrit d’un « blanc manteau d'églises » (2). 

Marne Aéroport_de_Vatry 2012 under the Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported license Auteur  Antoine  FLEURY-GOBERT

Vitry-le-François. De François Ier à la Deuxième Guerre Mondiale, sa position géographique disputée pâtit alors de la part de tous à tour de rôle, tour à tour amis puis ennemis. Ainsi, lorsque ce n’est pas un candidat archevêque que le roi oppose à celui du pape (ce qui lui valut un interdit et une excommunication), sinon une vulgaire histoire de mariage cassé afin qu’une Pétronille (3) amoureuse, soutenue par sa sœur, la reine Aliénor, puisse “ capter ” le mari, la Champagne se retrouve victime collatérale. 

Louis VII, en 1142, n’hésite pas à laisser brûler 1500 habitants pourtant réfugiés dans l’église ! 

1420, ce sont Jean de Luxembourg et ses alliés anglais qui incendient la ville.

1544, dans le cadre des Guerres d’Italie, Charles Quint et les Anglais brûlent et détruisent la ville… pourtant loin de l’Italie : le pays impacté lors des conflits, donc une occurrence ne datant pas d’hier !

1701, encore un incendie mais accidentel.

1794, les révolutionnaires brûlent l’église Saint-Germain.

Passons sur les famines et émeutes de la faim, la peste, des maux dont nous n’avons plus idée (dans un premier dix-neuvième siècle, le choléra causera néanmoins de nombreuses victimes).

1814, Vitry-le-François se retrouve encerclée par Napoléon qui veut en chasser le tsar, le roi de Prusse et le feldmarschall d’Autriche. Sauf que la prise de Paris par la Sixième Coalition provoque la première abdication du « tyran ».

De 1870 à 1872, la ville est occupée par les Prussiens.

11 septembre 1914, la ville est reprise aux Allemands.

16 mai 1940, bombardé par la Luftwaffe, tout un quartier brûle. Le 13 juin, suite aux bombardements, toute la localité s’embrase (destruction à 80 %)…

… le 27 juin 1944 au soir, les Alliés bombardent (destruction à 93 %).

Ah ! les professeurs d’Histoire et de petite histoire ne serait-ce que par respect pour cette France si exposée aux destructions ennemies… et amies.

15 juin 2008 : 60 voitures brûlées, 9 personnes blessées dont deux pompiers et deux policiers… L’Histoire retiendra-t-elle les violence urbaines à propos de la société française contemporaine ?

Ici, pas de contournement mais une déviation évitant le centre eu égard au gros trafic de camions.

Sa priorité étant d’arriver à Paris et de récupérer son fils, si son itinéraire a été arrêté, le voyage n’a pas été spécialement préparé, ce qui laisse tout le plaisir de refaire le trajet une fois revenu surtout que l’informatique permet une curiosité pratiquement sans limites… Et puis, ce n’est pas un voyage, seulement une migration !          

(1) Ah ! les professeurs aimés d’Histoire et de Géo, qui avaient en eux la flamme du partage ! porteurs de l’étincelle première, passeurs du flambeau, si positifs et formateurs pour enfants et ados à la pousse fragile ! Sûrement ceux dont le nom reste… Rougé, Moncouquiol, Sinsollier, Jalaguier… devant on dit « Monsieur », s’il vous plaît, avec la majuscule (comme pour Histoire, faut pas raconter d’histoire) ; l’allure, l’attitude, les traits du visage restent… Il suffit d’un effort pour que les tons de la voix nous reviennent. Réalise-t-on tout ce que nous devons au courant qu’ils ont su transmettre ? 

(2) Nous devons l’expression à Raoul Glaber (945-1047), un drôle de moine errant, rétif, désobéissant, querelleur, instable, au parler cru et sans détours, parfois manipulateur, souvent peu fiable, souvent expulsé ou que les communautés se renvoient d’abbaye en abbaye. Un frère atypique, de mauvaise réputation mais bon témoin de son temps et chroniqueur apprécié des chroniqueurs de l’an mil.

(3) son copain Papaul de Cugnaux, hélas plus de ce monde, ne lui chantait-il pas « Pétronille tu sens la menthe… », en référence, peut-être, à celle qui vécut voilà près de 900 ans en arrière ?                   

jeudi 17 mars 2022

NOSTALGIE dans le BOIS ! Balade et ballade (4e épisode)

OUI à la chanson des blés d'or, NON au fracas barbare des bombes !

Lu à l'âge où il laisse sa griffe, le roman d'Alain-Fournier nourrit à jamais quelques réminiscences qui veulent bien, à l'occasion d'une circonstance, réveiller une nuance de la palette de sensations alors ressenties. A l'époque où le parvis de l'église accueillait la fête de Salles, devant, la joie des villageois endimanchés, derrière le mur, le calme des grands arbres, en moi mes premiers émois, la hantise du lycée-prison, tout me rapprochait d'Augustin Meaulnes. 

Quoique fugace, assagie après la tempête, cette perception revient, de si loin depuis l'adolescence. Etrange. Comme ces mystères qui demeurent malgré une exploration menée à bien puisque, ici, le parc est devenu public et que le bois contigu semble appartenir à la commune. Alors reviennent aussi les vers de Verlaine :

"Dans le vieux parc solitaire et glacé
Deux formes ont tout à l'heure passé..." 

Deux formes parcourent une allée... Compagnie de deux amis ? Approche galante ? Rapprochement de deux amants ? Imaginaire, fantasmagorie se promènent aussi dans nos têtes...

Une promenade nimbée de brume, comme, plus prosaïquement, lors du récent déluge, sous une chape épaisse de nuages noirs et un rideau de pluie à verse, alors que nos pas, sur un petit pont, nous avaient menés au passage du ruisseau des Fontanelles. 



Un petit ruisseau qui ne vient pas de loin, à peine des hauteurs du moulin du phare (1) ; le sens unique vers Fleury, le village voisin, là où passait le petit train, en remonte le cours jusqu'aux bains-douches. Son lit est cimenté pour évacuer du mieux possible les quantités phénoménales d'eau lors d'un orage, sinon d'un aigat, un épisode aussi cévenol que méditerranéen. C'est arrivé ce dernier week-end, il est tombé presque 200 millimètres d'eau (158 en plaine à Narbonne, 180 vers Villedaigne et dans le Minervois à Siran), l'équivalent de la moyenne sur trois mois ! 

Du passé ancien au présent proche, revenons au passé récent, en septembre, quand les photos ont été prises. 



Impressions magnifiques à la vue de ces grands platanes, un marronnier (2), un figuier aussi (mais lui s'en sait mal de cette promiscuité !) dans un étonnant cadre de verdure qui doit donner, si on poursuit vers la sortie du village en direction de Nissan, sur un grand parking ombragé (surtout gardez les arbres !)... Oh ! deux chiens à mon encontre, le muscle ferme, le fouet vif ! Je vois, c'est un coin à promenade, à crottes quoi !  Et ce cagnot qui saute pour des caresses et me salit le pantalon ! Et son maître qui trouve que c'est normal, sourire en coin ! Et moi qui ne dis rien, macarel ! Finies pourtant, les rêveries émollientes ! Trop tard, toute cette poésie m'a endormi, sur le coup je n'ai pas réagi... Chicanes et querelles ne grandissent personne... tant mieux pour la poésie ! 

(1) Quel est le nom de ce moulin ? Sabarthès en mentionne au moins quatre avant 1800 :
Combe d’Alprat moulin à vent Salles 1781
Taysseferrals moulin vent Salles 1781
La Lauze moulin à vent Salles 1781
Le Moulin à vent, écart, Salles : la Moulinasse moulin ruiné Salles. 
Nos amis sallois sauront nous le dire. 

(2) les ormes ont disparu, les marronniers disparaissent, le fric fait planter des champs de résineux qui poussent vite... nos chênes centenaires partent en Chine parce que notre industrie ne travaille que pour le pin et l'épicéa, d'un rapport plus rapide. Pourquoi le souci du climat ne pousse-t-il pas l'appareil d'Etat à imposer la plantation de plus de feuillus, plus efficaces de 40 % pour l'atmosphère ? Ne cherchez pas, la réponse est dans ce petit paragraphe...  


samedi 11 avril 2020

C'ÉTAIT UN PAYS MERVEILLEUX ! / Lettre à mon dernier (suite & fin)...

Bien sûr, ce n'est plus un secret puisque je te le dis mais il me revient d'autant plus fort que ce matin magnifique qui me rappelle un paradis perdu m'a amené à prendre du recul, à ne plus avancer décérébré dans le troupeau, à essayer du moins, en essayant de vivre en ménageant la planète, serait-ce à notre petite échelle.
Aujourd'hui le Cers si sain ne souffle plus autant, aussi souvent, un marin humide et frais est devenu plus constant, plus pénétrant. C'est moins flagrant que les glaces qui fondent sauf qu'un changement aussi brutal interpelle. le climat a changé trop vite pour que nous n'y soyons pas pour quelque chose !
Et le plastique alors apprécié comme un progrès, qui a, depuis, tout envahi, pollué jusqu'au ventre des poissons trop pêchés.
La nourriture était plus chère, moins variée mais on ne gaspillait pas, on ne parlait pas de malbouffe et les produits du jardin étaient sains.
La réclame balbutiante ne nous poussait pas à toujours vouloir, à toujours vivre à crédit, dans l'insatisfaction...
Ne les entends-tu pas à toujours parler de croissance ? Les arbres, les pins au-dessus de nos têtes s'arrêtent bien de grandir un jour, non ? Pousser ! Enfler jusqu'à ce que tout éclate. La gouvernance mondiale nous mène droit à l'implosion.
Et le pétrole dix fois plus rare et pourtant cinq fois moins cher ! Que cette logique économique est détestable ! Et dégueulasses aussi ceux qui s'y vautrent comme si de spéculer était honnête et pas honteux alors que la pauvreté et la faim continuent d'accabler la Terre.
Et l'eau traitée comme un produit commercial et non d'utilité publique... 
Et les déchets du nucléaire pour lesquels on espère que les générations futures sauront que faire... 
Et la pollution surtout traitée de manière à faire tourner le marché, un marché qui propose de l'électrique peu propre, par exemple...

Hier un docteur sort de réanimation, il parle d'une victime du corona, cinquante ans, dans la force de l'âge et comme fondu, les poumons en bouillie à cause du virus. Sauf que, pour contredire les exhortations égocentrées de Macron traitant d'irresponsables ceux qui cherchent à faire des procès alors que la guerre n'est pas gagnée, ce docteur se bat mais non sans préciser combien la santé publique a été sacrifiée. Il rappelle que de 3ème notre système de santé serait passé au-delà de la 10ème place (après quelques recherches il s'avère que c'était déjà le cas en 2008, une vraie dégringolade).
Et il faudrait une union sacrée avec des dirigeants dévoyés que le docteur qualifie sans détour de "salopards" ! Bien sûr qu'il se bat ce docteur, qu'il reste en première ligne avec ces femmes ou hommes de terrain, aides-soignantes, femmes de salle, infirmières, professeurs, médecins et chercheurs qui seraient irresponsables de réclamer pour le pays... Mais même sous le coronavirus, les images propagandistes ne passent pas ces images et paroles... Sont-ils tenus de se tuer à la tâche pour quelques applaudissements tous les soirs y compris par les forces de l'ordre qui les tabassaient et gazaient il y a peu !
Et ensuite sera-ce pour entendre le fameux "NOUS" de majesté, solidaire seulement pour ce que cela peut leur rapporter de légitimité faussée et surtout de profits.      

https://www.mypharma-editions.com/la-france-chute-a-la-10eme-place-du-classement-ehci-des-systemes-de-sante-europeens

Grand écart extrême, tu te rends compte cette sensation magnifique de monde merveilleux et pas seulement celui de l'enfance, les nouvelles générations doivent y revenir. Et puis tu vois, si la religion pesait encore sur la vie au village, on était à des lieues d'imaginer l'horreur à venir d'un islamisme auquel il faudrait nous habituer comme nous le suggérèrent les socialo-traîtres du gouvernement Hollande !
L'hégémonie, le pouvoir, le colonialisme, la religion pure nous rappelant un pas trop vieux concept de "race pure" chez les nazis... Ensuite on sait bien qu'à part les martyres, tout le monde doit suivre bon gré mal gré... Si l'Histoire ne repasse pas les plats, les mêmes causes engendrent toujours les mêmes effets...

En te parlant, me revient un air "...C'était un pays charmant C'était un pays comme il faut...", une chanson de Cabrel pour dire que la pauvreté n'est plus tolérable... Madame X qui vit sans chauffage en caravane... Soit mais par le passé, le pays n'a été ni charmant ni comme il faut. La marche vers plus de justice est une lutte, longue, âpre. Que devrait-il chanter, Francis, vingt ans après alors que la situation a empiré ? Ce qui est triste est que quand le ministre Lemaire, faux jeton s'il en est (son parcours politique en atteste), constate la récession économique due à la pandémie de covid 19, la récession morale, elle, est tue, mise sous l'étouffoir. En ce début de siècle, avec la casse néolibérale (nous sommes dépendants de la fabrication de 80% des médicaments par exemple), avec la gestion de l'immigration s'apparentant à l'embauche d'un sous-prolétariat garantissant toujours plus de profits et le chômage pour les indigènes, avec la Macronie pour les riches, ce sont deux pas en arrière pour un en avant ! 

Alors mon fils, mon dernier, toi que je me dois encore de défendre, ma messe aux papillons voulait-elle dire trop de belles choses ? Suis-je coupable d'avoir été trop naïf ? Coupable d'être né quand je suis né ? D'avoir fait la cigale ? De t'avoir désiré ? De ne rien te cacher de ce que je ressens ? De te laisser un monde pourri ?  

jeudi 21 novembre 2019

QUAND LE POLITIQUE, LUI QUI MONTRE LE CIEL... / Mayotte en Danger

Quand le politique montre le ciel... alors on lui demande à quoi il sert, lui qui tergiverse pour une retenue collinaire qui a bien pris deux ans de retard...


lui qui se fait rouler dans la farine (n'est-ce pas monsieur le préfet ?) par l'entreprise qui devait construire et mettre en service une deuxième centrale de dessalement (non fonctionnelle à cette date)...

lui qui va nous clamer que c'est la faute à pas de chance si la première usine de dessalement tourne au ralenti suite à un incendie en 2018... mais à part ça tout va très bien...



lui qui lors de la pénurie de 2017 a durant des mois, et loin de toute impartialité, seulement pénalisé les habitants du centre et du sud (eau coupée 2 jours sur trois, plus d'hygiène, plus d'école, plus de restauration, plus de tourisme... )...



lui qui, enfin elle, la nommée Ericka Bareigts, éphémère ministre des Outremer qui nous assura de la solidarité indéfectible ultramarine qui, au pis, nous dépannerait avec une rotation de tankers d'eau de la Réunion, sauf que les Créoles ouverts à tous les apports laissèrent entendre qu'il n'était pas question d'apporter "leur" eau...


lui qui a osé offrir au privé la distribution de l'eau alors que le premier imbécile venu sait pertinemment que si ces gens-là pouvaient nous mettre un compteur sur le soleil ou sur l'air qu'on respire, même pollué, la pompe à fric ne se désamorcerait pas... D'ailleurs, à l'époque, Vinci, puisqu'il faut l'appeler par son nom (SMAE), faisant aux Mahorais la guerre, ne concéda qu'une ristourne (le geste auguste de l'arnaqueur) et il fallut une fédération du refus, celle des Assoiffés de Mayotte pour faire valoir qu'il n'était pas question de raquer pour une distribution d'eau non potable !

lui qui, de fait, et pour la bonne et simple raison que la logique du système l'exige, a laissé au public (canalisations, réservoirs, réseaux d'évacuation et assainissement) le SIEAM, pour que les frais et les investissements restassent à la charge de l'élec-ci-con (électeur-citoyen-contribuable et con tout court !) et les bénéfices pour le plus grand profit des actionnaires de Vinci, l'eau à Mayotte étant trois fois plus chère qu'à la Réunion ! Veni, vidi, "vinci", boni...  


Alors quand le politique montre le ciel, lui qui s'incruste, vu que les mandats multiples lui permettent de manger à tous les râteliers, on lui dit d'aller se faire voir ailleurs, qu'on n'a pas besoin de lui pour l'eau qui tombe du ciel. On lui dit que "la démocratie mûre" (les mots sont du premier ministre Édouard Philippe qui ne veut pas reconnaître que le système est sur et sent même le pourri !), il faut la renouveler... 


En attendant, ce sont toujours les mêmes qui trinquent. Les gens prévoient de stocker l'eau d'en haut ou du tuyau parce que quand le politique montre le ciel, lui qui n'est qu'une métastase mettant à mal le vivre ensemble démocratique, il n'a même pas honte de n'avoir pas assumé les charges de son mandat... 



Alors, du monarque-républicain Emmanuel Ier aux députés et sénateurs, pour finir avec les édiles du département ou des communes, pour s'en référer et reprendre un Grand de Mayotte française, Younoussa Bamana, pour ne pas le nommer, des mots que même les enfants se plaisent à répéter : "Nous n'en voulons pas du système "à la merde, à la con" !"