Lors des grèves d’août, l’homme qui parle se fait fracasser l’arcade et le nez mais comme il n’a pas l’intention de se laisser faire, l’agresseur s’enfuit. Pendant qu’il le poursuit, il se fait voler (certainement par des comparses) l’ordinateur, les papiers.
Le hiatus en plus du hic est que son secteur est à cheval entre police et gendarmerie et les deux se renvoient la balle... Sur ces entrefaites, un technicien informatique non officiellement installé sur la place l’informe qu’il est chargé de "débloquer" un ordi qui lui a appartenu et qu’il a même les coordonnées du "client" demandeur...
Notre fracassé revient voir les autorités. Le policier dit bien qu’elle voudrait bien l’entendre sans le pincer. Le gendarme voudrait pincer un clandestin certainement receleur plutôt que de s’occuper de l’agresseur. Il n’est pas question, pour notre homme, de donner un clandestin qui semble travailler pour vivre...
Son voisin embraye : il s’est fait voler les papiers d’identité. La police ne veut pas prendre sa plainte tant qu’il ne prouve pas son identité... l’ubuesque s’est décanté quand la mère de ses enfants a pu envoyer une photocopie du livret de famille...
KARIBU, BIENVENUE à MAYOTTE !
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