Kwezi FM mardi 20 sept 2016 / Mayotte 1ère / lundi 19 sept. 2016... et prolongements...
Les parents d’élèves de Boueni (sud de l'île) contre les rythmes scolaires ferment l’école à l’heure de la reprise de l’après-midi. La mairie revient enfin à ses devoirs envers la population ! Des devoirs assurément prioritaires par rapport au respect hiérarchisé de la loi venue et tombée d’en haut (détournement de la représentativité politique).
Ce n’est pas vivable pour les enfants clament les parents : climat tropical, pas de cantine, PETs étiques, accompagnement et garde des enfants fragilisant la minorité active...
La préfecture prend acte... Le secrétaire général du vice-rectorat insistait pourtant il y a peu pour la réforme des rythmes : « l’avenir nous donnera raison ».
La logique de l’apparatchik de service est bien de maintenir un pouvoir monolithique... La télé, pourtant d’État, doit avec « Pièces à conviction » traiter des 20 % des fonctionnaires directement nommés par les politiques dont une bonne part par le monarque républicain !
François Ier le Florentin n’a-t-il pas personnellement nommé une soixantaine de préfets amis ? L’émission rappelle quand même que 123 préfets sans affectation sont payés "à ne rien foutre", que d’autres planqués pantouflent au Conseil d’État ou à l’Inspection générale de l’Éducation Nationale...
« ... François Hollande s’était élevé contre ces privilèges en 1989. A l’époque, il était jeune député et haut fonctionnaire à la Cour des comptes : "Si je n’étais plus député, je redeviendrai conseiller à la Cour des comptes. Si je ne faisais absolument rien à la Cour des comptes, je continuerais à gagner 15 000 francs par mois. Je pourrais doser mon travail, rester chez moi quand je suis fatigué, aller à la Cour des comptes pour passer des coups de téléphone. Je serais totalement libre et je serais un vrai privilégié comme je l’étais avant d’être député."
Vingt-sept ans plus tard, François Hollande est président de la République et rien n’a changé.
"Les jobs en or de la République", une enquête de Stéphane Girard diffusée dans "Pièces à conviction" le 21 septembre 2016. »
Qu’en est-il du respect que nous devons aux Institutions quand François II le Piteux, le Pâteux, le Péteux (c’est plus hard avec le «U») a, qui plus est, le culot de vouloir rester sur la piste ?
Pourquoi tu tousses, Lacouture secrétaire général du vice-rectorat ? Parce qu’il ne faudrait quand même pas couper la branche sur laquelle un grand nombre des vôtres est assis ?
http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-3/pieces-a-conviction/pieces-a-conviction-du-mercredi-21-septembre-2016_1825373.html
Les parents d’élèves de Boueni (sud de l'île) contre les rythmes scolaires ferment l’école à l’heure de la reprise de l’après-midi. La mairie revient enfin à ses devoirs envers la population ! Des devoirs assurément prioritaires par rapport au respect hiérarchisé de la loi venue et tombée d’en haut (détournement de la représentativité politique).
Ce n’est pas vivable pour les enfants clament les parents : climat tropical, pas de cantine, PETs étiques, accompagnement et garde des enfants fragilisant la minorité active...
La préfecture prend acte... Le secrétaire général du vice-rectorat insistait pourtant il y a peu pour la réforme des rythmes : « l’avenir nous donnera raison ».
La logique de l’apparatchik de service est bien de maintenir un pouvoir monolithique... La télé, pourtant d’État, doit avec « Pièces à conviction » traiter des 20 % des fonctionnaires directement nommés par les politiques dont une bonne part par le monarque républicain !
François Ier le Florentin n’a-t-il pas personnellement nommé une soixantaine de préfets amis ? L’émission rappelle quand même que 123 préfets sans affectation sont payés "à ne rien foutre", que d’autres planqués pantouflent au Conseil d’État ou à l’Inspection générale de l’Éducation Nationale...
« ... François Hollande s’était élevé contre ces privilèges en 1989. A l’époque, il était jeune député et haut fonctionnaire à la Cour des comptes : "Si je n’étais plus député, je redeviendrai conseiller à la Cour des comptes. Si je ne faisais absolument rien à la Cour des comptes, je continuerais à gagner 15 000 francs par mois. Je pourrais doser mon travail, rester chez moi quand je suis fatigué, aller à la Cour des comptes pour passer des coups de téléphone. Je serais totalement libre et je serais un vrai privilégié comme je l’étais avant d’être député."
Vingt-sept ans plus tard, François Hollande est président de la République et rien n’a changé.
"Les jobs en or de la République", une enquête de Stéphane Girard diffusée dans "Pièces à conviction" le 21 septembre 2016. »
Qu’en est-il du respect que nous devons aux Institutions quand François II le Piteux, le Pâteux, le Péteux (c’est plus hard avec le «U») a, qui plus est, le culot de vouloir rester sur la piste ?
Pourquoi tu tousses, Lacouture secrétaire général du vice-rectorat ? Parce qu’il ne faudrait quand même pas couper la branche sur laquelle un grand nombre des vôtres est assis ?
http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-3/pieces-a-conviction/pieces-a-conviction-du-mercredi-21-septembre-2016_1825373.html
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