mardi 12 novembre 2024

Présentation « UN LANGUEDOC dans une FLEUR d'AMANDIER »

Au prétexte d'un concours, l'occasion faisant le larron, puisque l'expression est restée sans plus la portée négative, souffrez la suite de la présentation de « UN LANGUEDOC dans une FLEUR d'AMANDIER » Hiver, tome 1 de la quadrilogie SUD, C'EST ÇA ! 

Le 10 novembre il fallait inclure le mot imposé « cime », le 11 « murmurer » : 

dimanche 10 novembre, mot « cime » 

Les pins de Trémolières pour le moins, plus que centenaires (Caboujolette, garrigue de Fleury-d'Aude). 

Le pêcheur se permet de mêler une touche personnelle plutôt partagée tant que n'est pas abordée sa ligne politique opposée au libéralisme capitaliste amoral et suicidaire pour la vie de la planète, l'avenir du genre humain. Il ne s'agit pas, en cela, de nier la nature profonde et à part de l'Homme sur Terre mais seulement de rééquilibrer la concurrence sauvage par une solidarité concrète limitant, notamment, un enrichissement illimité. La cime des arbres n'atteint-elle pas, elle, une limite ? Entre « la propriété c'est du vol » de Proudhon et les milliards à l'infini qui ne le seraient pas, il est plus qu'urgent de réagir... les 63 premiers milliardaires français polluent autant que la moitié de notre population. Pourquoi la croissance du toujours plus, gaspilleuse, mortelle à terme ? Ne vaut-il pas mieux une économie mesurée permettant de durer ? 

lundi 11 novembre, mot « murmurer » 

La géographie, pour revenir à plus de poésie, tant physique qu'humaine, n'arrête pas de nous murmurer, suivant le cycle des saisons. Considérons-la dans un esprit aussi innocent qu'inconscient tant l'après-guerre semblait ouvrir à tous les espoirs, au point d'en oublier que l'Homme n'est que le pire des exterminateurs, suppôt de l'idéologie prédatrice de la richesse infinie offerte aux audacieux. Si le renouvelable de la planète est limité, la croissance économique doit l'être aussi... la croissance mangeuse d'hommes mange aussi les ressources épuisables. Que deviendra-t-elle ? que deviendrons-nous lorsqu'elle n'aura plus rien à dévorer ? 
Si tout va bien, « Un Languedoc dans une Fleur d'Amandier », tome 1 de « SUD, C'EST ÇA ! », nous emmènera de l'Ariège à la Montagne Noire avant de se recentrer sur la vie de mon village aussi méditerranéen que languedocien, Fleury-d'Aude, du temps de sa vie d'avant, en hiver, de début décembre à fin février. 

Fleury-d'Aude, téléobjectif sur le clocher avant. Diapositive François Dedieu. 

Fleury-d'Aude, dans la “ médina ”, la tour Balayard. 




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