Vice-rectorat : même en haut de la pile il faut du temps au temps !
Pour démontrer l’horreur du djihadisme, un enseignant du collège de
Kaweni ne trouve rien de mieux que de montrer la vidéo de la
décapitation d’une femme. Cela partirait « d’un bon sentiment » (je cite
les journalistes de Kwezi / matinale du lundi 9 février 2015) sauf que
des parents d’élèves s’en plaignent, eux, à juste titre auprès du
principal qui en réfère à sa hiérarchie... Le problème est que le dossier
qui arrive au vice-rectorat reste « en haut d’une pile » (NDJK).
L’affaire remontant à Paris par le biais des réseaux sociaux, nos chers
ronds-de-cuir, serait-ce avec retard à l’allumage, sont bien obligés de
se bouger illico presto le postérieur (pour le cerveau ça viendra plus
tard... un jour peut-être...). A suivre...
Le cerveau...... Un grand oublié de nos jours....
RépondreSupprimerAmitiés!