JEUDI 22 MARS 2018.
Les Comores, grande puissance tenant son rang, bloque la France toujours
empêtrée dans ses tergiversations…
A défaut d’une réaction de l’État toujours aussi courageux mais pas
téméraire, le député Kamardine réplique :
Pardon, »une action ferme et déterminée » est ENVISAGEE !
LA POPULATION DE MAYOTTE REFUSE QUE LES GYMNASES SOIENT MIS A DISPOSITION DE
LA PREFECTURE pour loger les clandestins refoulés de retour…
VENDREDI 23 MARS 2018
SERA-CE Monsieur ou Madame bons offices ?
SAMEDI 24 MARS
La presse comorienne revient sur le refoulement du navire Gombessa
DIMANCHE 25 MARS 2018
Les Comores soutiennent aussi leurs ressortissants :
Et l’Etat en reste à ses charabias alambiqués prêtant à confusion :
Yazidou Maandhui, notre faceblogueur revient sur le double langage de la France
désireuse de s’accommoder avec Moroni quitte à court-circuiter Mayotte :
« … l’infâme « feuille de route » dont le projet fut ourdi dans les
sombres couloirs de la lâcheté, soutenue en
catimini, de loin, avec déférence par une bonne partie des élus qui s’étaient
bien gardés d’en faire mention à la population— n’est ni « morte et enterrée »,
ni déchiquetée et brûlée. Son application, sa mise en œuvre a simplement été «
différée » le temps de travailler l’amnésie des mahorais, de les avoir à
l’usure, de les lier au fatalisme… »