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| La maison de Gibert... La cour donnant sur l'avenue était si fréquentée... La porte à mouches n'arrêtait pas... A côté le portail de l'atelier où travaillait monsieur Vidal, mécanicien à temps plein... Si le robinier faux-acacia n'est plus à droite, celui de gauche est toujours là... des verdiers y nichaient chaque année... Depuis combien d'années n'entend-on plus ces oiseaux ? |
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| Et derrière, caché par la maison et un mur assez haut, un grand parc à présent redevenu sauvage. |
"... Autre deuil que tu dois connaître : le malheureux petit-fils de M. Gibert, Jean-Noël NEIRAC, ancien élève de l’Ecole Polytechnique (promotion 67) et ancien conseiller municipal de Fleury, décédé le 15 novembre dans sa 58ème année, peut-être de ce mal foudroyant quand il ne désigne pas "une longue maladie"... Je ne suis pas allé aux obsèques, samedi 17 novembre à 15 heures. C’est sa mère Marguerite Marie qui était née Gibert. Tout cela est bien triste.
Plus souriants les collants rouges en occitan. Sais-tu que nous les avions dans la rue sur la vitre arrière d’une auto qui y stationnait lors de la fête ? Il n’y manquerait plus que le ‘thank you’ répété par l’Anglais sans le th insulaire et qui amenait la réplique connue. La première fois, j’ai dû en parler un jour dans ces lignes, j’ai entendu ça au café Billès par un conteur de la saint-martin. C’était alors la « chute » d’une histoire de pêcheurs à la ligne. L’Occitan répondait à l’Anglais qui lui demandait de quoi se compose une canne à pêche : d’une longue carabène, d’un fil, d’un tap et d’un crouquet. L’autre rectifiait : non, d’une longue bâtonne, avec une bête à chaque bout ! « Et ieu que t’y respoundèri en inglés : Yes, milo dious ! Et à la fin arrivait le « E ieu t’emmèrdi !! » que Villanova a encore placé avec le slogan de la clé de la vigne dans son « espèctacle »."
Correspondance / François Dedieu, novembre 2007.
"Romègues pas e passa davant !"
"Fai tirar !"
"Cailha te e buta !"
"Sèm pas aqui per faire de rasonaments !"
