jeudi 2 mai 2024

Politicards et vie privée...

Avec ces paragraphes qui fâchent, malheureusement, encore l’évocation d’une politique qui, se voulant réaliste, sinon “ reconnaissante ” envers ceux qui ont contribué au succès, n’hésite pas pour cela à papillonner sur les marges d’une illégalité versant dans l’argent douteux. Toujours à Nice, dans la continuité de Jacques Médecin, Jacques Peyrat (1931) voit son second mandat de maire entaché par des affaires dont un problème de corruption entachant l’attribution du marché public (Stade du Ray projet de 2002) et en 2006 par un recours du préfet pour un marché public relatif au nouveau stade projeté dans la plaine du Var, non conforme au code des marchés publics, de même concernant le marché truqué sur l’appel d’offre du tramway. 

Nice supporteurs 2009 Creative Commons Attribution-Share Alike 2.0 Generic license. Auteur angellli


La page wikipedia ne parle pas du rôle non négligeable joué alors par Jean-François Knecht (1957-2007), élu d’opposition intraitable n’hésitant pas à multiplier les recours administratifs ou au pénal dans les litiges cités mais aussi contre le projet de palace du parking Sulzer ou le dépôt du tramway à Nice-Nord. Sur la même page, les personnes directement concernées, en premier lieu, les socialistes de Nice devraient, pour la mémoire de J.F. Knecht, se racheter d’une carence d’esprit de corps, de solidarité, pour tout dire, d’humanité. Mais les galets ne sont-ils pas à la plage, ce que les égouts et Spaggiari (1932-1989) sont à la ville ? 

JFK...

JFK oui... comme quoi, en bien ou en mal, consciemment ou non, un homme, un destin peuvent marquer. Le nôtre de JFK, JFK à part entière, un peu à nous disons, relativement proche à partir du moment où il n’a livré de lui que ce qu’il voulait, à savoir, rien en dehors de ce qui était au vu et au su de tout le monde... On ne se permet pas de demander à l’autre ce qu’il a de lointain, à plus forte raison sa face cachée s’il ne donne, en cela, le moindre indice...

À quarante-huit heures de ne pas oublier ta perte (16 avril 2024), JF, peut-être est-ce grâce à toi qu’à partir de ce jour, sans oublier le décès à commémorer, il me sera plus lumineux de mettre en avant le jour de naissance, la venue au Monde des miens ainsi que des grands, de ceux dont le sillage reste luminescent, qui éclairent, du moins, le mien de chemin... Plutôt les fesses roses et souriantes de bébé que le teint cireux d’un visage thanatopracté... Me reviennent malgré moi, l’air, les paroles, « Il est né parmi les abeilles, un bel enfant de miel et d’orgeat... », toi de Nice, au nom alsacien, né à Doullens (80) ! Ça alors ! dans la Somme ! Comme des étoiles filantes, ces choses-là, aussitôt nées, aussitôt mortes... Né plutôt que mort ce jour ; tiens, le 18 avril 1951 naît ma cousine Jiřina, en Bohême du Sud, Tchécoslovaquie : sans parler de ces chassés-croisés géographiques tous azimuts, ça complique mais qu’est-ce qu’on s’ennuierait sans se compliquer la vie, la vie de qui que l'on soit, toujours loin de couler telle un long fleuve ennuyeux...  

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