«... Ici la vie continue comme d’habitude : les forains sont tous repartis hier après la fête du village, et la place est redevenue plus grande.../...
Quelqu’un qui fait du beau travail, c’est cet Anglais qui a acheté l’immense caserne de Pendriès (maison ayant appartenu à Pélissier). Après avoir rouvert portes et fenêtres consignées depuis pas mal de lustres, il vient de refaire à l’identique le grand portail tout rouillé, il a replacé les trois grands rectangles de fer du bas avec de solides plaques toutes neuves, et a conservé toutes les moulures ; repeint en gris le tout est du plus bel effet et il est réconfortant de voir ainsi ressusciter une maison morte depuis belle lurette.
PHOTO 1 : et moi qui croyais en avoir du portail sinon de la maison depuis le chemin du Puits-Sûr qu'elle domine d'une vingtaine de mètres. Bref, pas de photo ! Toute contribution amicale sera la bienvenue...
Vendredi 18 a eu lieu dans les grands ateliers municipaux faisant face au cimetière (ancienne fabrique de palettes), la 5ème fête du vin nouveau malheureusement sans les châtaignes qui auraient fermenté.
PHOTO 2 : le hangar en 1987, encore dédié aux palettes peut-être... |
Nous avons eu droit au Collège de Septimanie et aux déguisements traditionnels, l’orchestre «Bar du Port» de quatre musiciens a été particulièrement agréable (chansons de Trénet, de Boby Lapointe - qui revient en force depuis un certain temps, lui qui nous a quittés depuis des années - et valses, tangos, javas, même du rock (dansé par... Henry Bourjade avec la jeune espagnole belle-fille de Verdun et femme d’un de ses employés à Saint-Pierre-la-Garrigue : il a étonné tout le monde par cette danse endiablée qui a fait dire à certains qu’il avait levé le coude d'autant plus qu'il a embrassé sa cavalière pour la remercier)..."
Correspondance. François Dedieu / novembre 1994.
Et oui papa, au village il en faut peu pour que fusent sans les cancans, potins et autres commérages !
Vignes de Saint-Pierre-la-Garrigue. |
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