lundi 1 septembre 2014

RICHELIEU PLUTÔT EN ROUGE, VALLS EN BLEU...


La meilleure des défenses c'est l'attaque, c'est ce qu'a fait Valls contre les socialistes encartés (comme Richelieu le fit contre les protestants...). Mais ce n'est pas un argument de seulement beugler au micro ! Et l'éloge de la ministre de l’Éducation, ne rimant avec rien, n'a ému qu'elle. 
Vallaud-Belkacem émue que Valls la soutienne en tant que femme qui a un visage ( ???) :

« Chers amis, applaudissez cette ministre, parce qu'elle est un des visages, non seulement du gouvernement, non seulement de la République, mais elle est un visage, et comme tous les autres ministres de ce gouvernement, ces ministres sont au service de la France ».


Et ce visage menace : « Aucune exception ne sera tolérée", a affirmé la ministre. "La loi s'appliquera partout et il n'y aura pas d'exception. Il relèvera des élus locaux que les choses se passent bien... »


« ... Mais je le dis, il y a une obligation scolaire, il faut que les communes respectent la loi et nous ne tolèrerons aucune exception. La loi s'appliquera. Si ce n'est les maires qui l'appliquent, alors ce seront les préfets. »


Perfide, bifide, venimeuse, la langue du naja ne paralysera pas les citoyens français et si nécrose il y a, ce sera celle d’un corps gouvernemental dévoyé parce que nous ne saurions accepter celle de la démocratie !


Photo autorisée wikipedia "Le siège de la Rochelle"

Photo : Vallaud-Belkacem émue que Valls la soutienne en tant que femme qui a un visage ( ???) :

« Chers amis, applaudissez cette ministre, parce qu'elle est un des visages, non seulement du gouvernement, non seulement de la République, mais elle est un visage, et comme tous les autres ministres de ce gouvernement, ces ministres sont au service de la France ».

Et ce visage menace : « Aucune exception ne sera tolérée", a affirmé la ministre. "La loi s'appliquera partout et il n'y aura pas d'exception. Il relèvera des élus locaux que les choses se passent bien... »

« ... Mais je le dis, il y a une obligation scolaire, il faut que les communes respectent la loi et nous ne tolèrerons aucune exception. La loi s'appliquera. Si ce n'est les maires qui l'appliquent, alors ce seront les préfets. »

Perfide, bifide, venimeuse, la langue du naja ne paralysera pas les citoyens français et si nécrose il y a, ce sera celle d’un corps gouvernemental dévoyé parce que nous ne saurions accepter celle de la démocratie ! 

Photo autorisée wikipedia "Le siège de la Rochelle"

SI LA DÉMOCRATIE, C'EST ROULER LE PEUPLE DANS LA FARINE...



Réforme des rythmes / SADA : vendredi 29 août 2014. 1 h 45 minutes d’échanges avec le vice-vice-recteur.

Le blocage perdure, la réforme devant être mise en place impérativement de la part des autorités alors que les parents demandent d’en rester à la journée continue tant que les conditions pour la réforme ne sont pas réunies (20 % des établissements aux normes, manque de moyens à commencer par le transport scolaire, ... ). Les parents qui travaillent vont voir leurs frais de garde augmentés puisqu’il faut récupérer les enfants pour la pause « méridienne » et les ramener l’après-midi.


Le vice-rectorat manie le bâton : il faut appliquer la loi et toute remise en cause de la réforme relève d’une manœuvre politique.


Le vice-rectorat manie aussi la carotte en avançant que les subventions d’amorçage abonderont les finances communales à partir du mois d’octobre ( toujours la charrue avant les zébus...). Encore à propos de ces fonds, il faut savoir que de nombreux maires métropolitains renoncent à demander les 50 € de la CAF tant la procédure s’apparente à un parcours du combattant.


Le vice-rectorat rassure à propos de l’encadrement à la charge des mairies en alléguant qu’aucune qualification n’est exigée (les parents et les maires apprécieront de confier les enfants à... n’importe qui).


Suite aux propos autoritaires de la ministre qui précise qu’aucune exception ne sera admise, serait-ce outre-mer, pour Mayotte, il est intéressant de suivre la situation en Guyane où la commune de St-Laurent-du-Maroni (40 000 habitants, 25 écoles) avance que sa journée continue (5 jours de classe, moins de 5,5h /jour, 175 jours de classe/an) reste proche de ce qui est demandé par la réforme.


photo autorisée wikipedia

Photo : Réforme des rythmes / SADA : vendredi 29 août 2014. 1 h 45 minutes d’échanges avec le vice-vice-recteur.

Le blocage perdure, la réforme devant être mise en place impérativement de la part des autorités alors que les parents demandent d’en rester à la journée continue tant que les conditions pour la réforme ne sont pas réunies (20 % des établissements aux normes, manque de moyens à commencer par le transport scolaire, ... ). Les parents qui travaillent vont voir leurs frais de garde augmentés puisqu’il faut récupérer les enfants pour la pause « méridienne » et les ramener l’après-midi.

Le vice-rectorat manie le bâton : il faut appliquer la loi et toute remise en cause de la réforme relève d’une manoeuvre politique.

Le vice-rectorat manie aussi la carotte en avançant que les subventions d’amorçage abonderont les finances communales à partir du mois d’octobre ( toujours la charrue avant les zébus...). Encore à propos de ces fonds, il faut savoir que de nombreux maires métropolitains renoncent à demander les 50 € de la CAF tant la procédure s’apparente à un parcours du combattant.

Le vice-rectorat rassure à propos de l’encadrement à la charge des mairies en alléguant qu’aucune qualification n’est exigée (les parents et les maires apprécieront de confier les enfants à... n’importe qui).

Suite aux propos autoritaires de la ministre qui précise qu’aucune exception ne sera admise, serait-ce outre-mer, pour Mayotte, il est intéressant de suivre la situation en Guyane où la commune de St-Laurent-du-Maroni (40 000 habitants, 25 écoles) avance que sa journée continue (5 jours de classe, moins de 5h 30/jour, 175 jours de classe/an) reste proche de ce qui est demandé par la réforme.

photo autorisée wikipedia