lundi 9 janvier 2017

L’ÉDUCATION ET LE RESTE A MAYOTTE / Constance Cynique et sa clique en manque d'eau (4) !


La rentrée est reportée de trois jours dans le sud, le temps pour le vice-rectorat, de mettre en place des équipements palliatifs face à la pénurie d'eau et aux coupures dues au rationnement... 

La clique en charge de l’Éducation Nationale à Mayotte, gérant ou plutôt laissant dériver sans vergogne un département déjà déshérité, n'a pas eu assez du mois de vacances pour anticiper les fameuses "heures volées aux élèves". même si nous le savions déjà, ils ne manquent pas d'air les nomenklaturistes !

Et les indigènes irresponsables, ils ont bon dos, toujours selon nos si vertueux serviteurs de l’État toujours aussi paternalistes ! 

Et ce matin, les baveux de Kwezi, si prompts à passer la brosse à la vice-recteur et à ses pontes (la dernière fois pour les efforts "planchés" pour la restauration scolaire), ressortiraient presque le balai-brosse et la "planche" savonnée pour ce même haut-fonctionnaire (1) qui n'était peut-être pas là pour une danse de la pluie ! 

C'est vrai que si l’État (à côté des politiques jamais là, ne les oublions pas ces parasites patentés !) se décarcassait autant pour l'eau que pour le reste à Mayotte (2), le monde entier le saurait (3) ! 

(1) un nommé "Planchand" sauf erreur de ma part et si je n'écorche pas son patronyme...
(2) concernant la grève des instits, par exemple, tant de radinerie à l'encontre de Mayotte alors que l'égalité réelle n'équivaudrait qu'à 0,7 % des efforts du pays puisque Mayotte, immigration comprise, ne pèse pas davantage !
(3) c'est au contraire une chape de plomb qui couvre l'île pour que toute cette gouvernance sale n'arrive pas aux oreilles des quelques métros susceptibles de solidarité... alors que les panurgistes hypocrites (Peillon aussi, à sa manière, à l'occasion de son engagement présent, que je me permets de mettre à l'index pour son idéologie suicidaire sur bien des points) prêchent pour l'accueil (mais, en général, plutôt chez leurs voisins que chez eux) des damnés de la terre chassés, entre autres malheurs, par nos guerres !

dimanche 8 janvier 2017

ÇA PUE LE DOGMATISME DE PEILLON... / L'école de Mayotte, une honte pour le monde (3) !

ÇA PUE LE DOGMATISME DE PEILLON, LE GAUCHO DES BOBOS PARTI EN PÉNICHE (2014) ET QUI VOUDRAIT COMMANDER LE PAQUEBOT 2017...

" Patrick Millan : les rythmes scolaires... Des parents sont venus témoigner sur ce plateau et par téléphone. Ils expliquent que ces rythmes ne conviennent pas à notre méthode de vie. Amener le gamin à 7 heures, revenir le chercher à 11 h, le récupérer à 12h30, le ramener à 15h. Je sais plus, je n’ai pas les horaires en tête mais puisque la mairie a du mal à compenser sur la pause méridienne, ça ne colle pas.

Constance Cynique : ce n’est pas du tout le problème, la mairie  n’a pas de mal à compenser là-dessus, la problématique c’est la problématique de vouloir de suite avoir des réfectoires pour pouvoir installer les enfants pour manger. Voilà. La problématique elle est là. Alors on revient en arrière, on repart à zéro et dans vingt ans, dix ans on en sera exactement au même point. En métropole c’est la même chose, les gens vont travailler aussi en métropole. il y a aussi des organisations où les enfants, le rythme des enfants c’est pas forcément le rythme des parents. Je suis désolée, le rythme des enfants, le rythme pour apprendre des enfants n’est pas forcément le même que le rythme des parents et c’est pour ça qu’il y a des organisations à trouver et l’avantage qu’a Mayotte, c’est que la cellule familiale de Mayotte est une cellule qui est beaucoup plus élargie et qui permet du coup d’avoir des prises en charge par d’autres membres de la famille, par des voisins, ce qui est beaucoup plus difficile en métropole. Il faut pas mettre les problèmes là où ils ne sont pas. C’est pas un problème de rythmes, le rythme d’abord c’est pas nous qui en parlons, ce sont les chronobiologistes et nous n’avons pas nous les compétences pour pouvoir  parler des rythmes des uns et des autres. Les chronobiologistes l’ont fait et l’ont dit. Après, dernier point, je vais commencer par ça, l’école de la république, c’est la ministre de l’Éducation Nationale qui, pour la totalité de ses territoires pose les règles, les règles qui ont été posées, c’est 9 demi-journées avec un amendement possible et donc 8 demi-journées possibles et ça personne n’a dit qu’on commençait à 7 h, à 10 h. La seule règle c’est 5 matinées de travail avec 8 ou 9 demi-journées.

PM : ça peut s’organiser à peu près comme on peut le faire...

CC : mais bien sûr, en tout cas, ça peut s’organiser en tenant compte des rythmes de Mayotte qui est une vie qui commence beaucoup plus tôt le matin par exemple " 


La vice-recteur dans la problématique des rythmes...