dimanche 8 janvier 2017

ÇA PUE LE DOGMATISME DE PEILLON... / L'école de Mayotte, une honte pour le monde (3) !

ÇA PUE LE DOGMATISME DE PEILLON, LE GAUCHO DES BOBOS PARTI EN PÉNICHE (2014) ET QUI VOUDRAIT COMMANDER LE PAQUEBOT 2017...

" Patrick Millan : les rythmes scolaires... Des parents sont venus témoigner sur ce plateau et par téléphone. Ils expliquent que ces rythmes ne conviennent pas à notre méthode de vie. Amener le gamin à 7 heures, revenir le chercher à 11 h, le récupérer à 12h30, le ramener à 15h. Je sais plus, je n’ai pas les horaires en tête mais puisque la mairie a du mal à compenser sur la pause méridienne, ça ne colle pas.

Constance Cynique : ce n’est pas du tout le problème, la mairie  n’a pas de mal à compenser là-dessus, la problématique c’est la problématique de vouloir de suite avoir des réfectoires pour pouvoir installer les enfants pour manger. Voilà. La problématique elle est là. Alors on revient en arrière, on repart à zéro et dans vingt ans, dix ans on en sera exactement au même point. En métropole c’est la même chose, les gens vont travailler aussi en métropole. il y a aussi des organisations où les enfants, le rythme des enfants c’est pas forcément le rythme des parents. Je suis désolée, le rythme des enfants, le rythme pour apprendre des enfants n’est pas forcément le même que le rythme des parents et c’est pour ça qu’il y a des organisations à trouver et l’avantage qu’a Mayotte, c’est que la cellule familiale de Mayotte est une cellule qui est beaucoup plus élargie et qui permet du coup d’avoir des prises en charge par d’autres membres de la famille, par des voisins, ce qui est beaucoup plus difficile en métropole. Il faut pas mettre les problèmes là où ils ne sont pas. C’est pas un problème de rythmes, le rythme d’abord c’est pas nous qui en parlons, ce sont les chronobiologistes et nous n’avons pas nous les compétences pour pouvoir  parler des rythmes des uns et des autres. Les chronobiologistes l’ont fait et l’ont dit. Après, dernier point, je vais commencer par ça, l’école de la république, c’est la ministre de l’Éducation Nationale qui, pour la totalité de ses territoires pose les règles, les règles qui ont été posées, c’est 9 demi-journées avec un amendement possible et donc 8 demi-journées possibles et ça personne n’a dit qu’on commençait à 7 h, à 10 h. La seule règle c’est 5 matinées de travail avec 8 ou 9 demi-journées.

PM : ça peut s’organiser à peu près comme on peut le faire...

CC : mais bien sûr, en tout cas, ça peut s’organiser en tenant compte des rythmes de Mayotte qui est une vie qui commence beaucoup plus tôt le matin par exemple " 


La vice-recteur dans la problématique des rythmes... 

samedi 7 janvier 2017

L’ÉDUCATION A MAYOTTE ?.. BLABLAS, ESBROUFE, MENSONGES (2)

Acculée, la nomenklaturiste en chef de l’Organe Éducatif d’État à Mayotte a voulu attaquer pour défendre son calamiteux bilan. Elle était reçue, fin octobre, par Kwezi, la radio « brosse à reluire », sauf qu’en la circonstance, les blaireaux ne disposaient plus que du chiendent...

«... LES MILLIONS NE SE TROUVENT PAS SOUS LE PAS D’UN CHEVAL.../... IL FAUT SURTOUT PAS ESSAYER DE DONNER L’IMPRESSION QUE LES CHOSES VONT MAL...»

Patrick Millan : doit-on parler de générations sacrifiées ?

Constance Cynique : pas du tout, justement, il faut justement continuer, je ne veux pas être responsable. Or si on fait ce que certains parents disent... mais ils sont quand même pas nombreux mais je veux pas minimiser le problème hein, là ce serait une génération sacrifiée parce qu’on sait très bien, c’était de notoriété publique que quand les enfants étaient sur 5 heures, 5 h et demi d’affilée, il n’y avait pas 5,5 h de travail ; c’était dit par mes prédécesseurs et c’était prouvé maintenant on ne peut pas dire que il n’y a pas une prise en compte une prise en charge de la problématique. Le maire de Mamoudzou a déjà fait énormément...

PM : ça dépend des quartiers...

CC : peut-être faut il interroger le maire. Moi je sais qu’on a fait un énorme travail...

PM : faut trouver une solution, il y a quand même des écoles fermées, Kavani...

CC : tout à fait. Nous sommes en train de trouver une solution puisque la solution... on ne peut pas trouver la solution sur Kavani, on ne peut pas trouver, les millions ne se trouvent pas sous le pas d’un cheval. Il va falloir aussi qu’on comprenne cette chose là. Dix millions ont été rajoutés aux 10 millions qui étaient posés déjà sur le 1er degré, il y a une réelle prise en charge de la situation. Actuellement sur Kavani, il y a une proposition qui est faite avec une association pour pouvoir aider le fonctionnement. Je crois qu’il faut juste que nous puissions tous nous mettre autour de la table et c’est ce qui est en train d’être fait puisque mon adjoint a rendez-vous. Oui bien sûr si vous regardez l’événement du jour au lendemain, on peut dire que les choses n’avancent pas assez vite. Moi je peux vous dire que les choses avancent et que il faut surtout pas essayer de donner l’impression que les choses vont mal. Non, il y a des endroits où les choses vont moins bien qu’à d’autres. Il faut effectivement qu’on en tienne compte et moi je ne veux pas que les enfants de Kavani soient des enfants sacrifiés...

La suite si vous montez avec moi en PREMIERE LIGNE !

Acculée, la nomenklaturiste en chef de l’Organe Éducatif d’État à Mayotte a voulu attaquer pour défendre son calamiteux bilan. Elle était reçue, fin octobre, par Kwezi, la radio « brosse à reluire », sauf qu’en la circonstance, les blaireaux ne disposaient plus que du chiendent...

«... LES MILLIONS NE SE TROUVENT PAS SOUS LE PAS D’UN CHEVAL.../... IL FAUT SURTOUT PAS ESSAYER DE DONNER L’IMPRESSION QUE LES CHOSES VONT MAL...»

Patrick Millan : doit-on parler de générations sacrifiées ?

Constance Cynique : pas du tout, justement, il faut justement continuer, je ne veux pas être responsable. Or si on fait ce que certains parents disent... mais ils sont quand même pas nombreux mais je veux pas minimiser le problème hein, là ce serait une génération sacrifiée parce qu’on sait très bien, c’était de notoriété publique que quand les enfants étaient sur 5 heures, 5 h et demi d’affilée, il n’y avait pas 5,5 h de travail ; c’était dit par mes prédécesseurs et c’était prouvé maintenant on ne peut pas dire que il n’y a pas une prise en compte une prise en charge de la problématique. Le maire de Mamoudzou a déjà fait énormément...

PM : ça dépend des quartiers

CC : peut-être faut il interroger le maire. Moi je sais qu’on a fait un énorme travail...
 
PM : faut trouver une solution, il y a quand même des écoles fermées, Kavani...

CC : tout à fait. Nous sommes en train de trouver une solution puisque la solution... on ne peut pas trouver la solution sur Kavani, on ne peut pas trouver, les millions ne se trouvent pas sous le pas d’un cheval. Il va falloir aussi qu’on comprenne cette chose là. Dix millions ont été rajoutés aux 10 millions qui étaient posés déjà sur le 1er degré, il y a une réelle prise en charge de la situation. Actuellement sur Kavani, il y a une proposition qui est faite avec une association pour pouvoir aider le fonctionnement. Je crois qu’il faut juste que nous puissions tous nous mettre autour de la table et c’est ce qui est en train d’être fait puisque mon adjoint a rendez-vous. Oui bien sûr si vous regardez l’événement du jour au lendemain, on peut dire que les choses n’avancent pas assez vite. Moi je peux vous dire que les choses avancent et que il faut surtout pas essayer de donner l’impression que les choses vont mal. Non, il y a des endroits où les choses vont moins bien qu’à d’autres. Il faut effectivement qu’on en tienne compte et moi je ne veux pas que les enfants de Kavani soient des enfants sacrifiés...

La suite si vous montez avec moi en PREMIÈRE LIGNE !