Affichage des articles dont le libellé est maki. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est maki. Afficher tous les articles

mardi 16 avril 2024

Elle récolte... ils S'INVITENT ! (3)

Finalement, un bruit sur la varangue confirme qu'il faut laisser là le panier de crabes politiques malencontreusement ouvert suite, pourtant, à une bonne intention... 

Ankoumba en kibushini (malgache de Mayotte), le maki de Mayotte, sous-espèce d'Eulemur fulvus, lémur fauve de Madagascar. Voilà trente ans, les attirer avec une banane pour une photo sortait de l'ordinaire. Aujourd'hui, protégés, plus nombreux et plus effrontés que jamais, ils forment des bandes de plus d'une dizaine de membres. 
Barabufka, banane dessert naturellement sucrée à faire revenir à la poêle. 

Tout entamé, vomi, chiures (pas d'appareil photo dans l'urgence) il faut les repousser puis trier, récupérer le récupérable, laisser leur part, mais pas à table, au compost ! 


La main avant l'attaque. 
     



mercredi 2 août 2017

TÉLÉ D’ÉTAT, INFO ORIENTÉE, SÉGRÉGATION CACHÉE... / Mayotte, France en Danger




Les reportages ludiques qui n’ont rien à voir avec l’actualité fleurissent pourtant lors des journaux télévisés : le soporifique des infos à la télé va de pair avec la désinformation toujours plus pesante des médias libéraux. Nous avons droit, en effet à une propagande d’État de plus en plus grossière pour entretenir la léthargie du bon peuple.

Grand messe du 13 heures ce mardi 1er août 2017. Sans parler du revirement gouvernemental à 180 degrés entre libéralisme et communisme pour les chantiers navals à Saint-Nazaire, après la page tourisme dans les Alpes, celle plus lointaine sur les lémuridés de Madagascar.  
Nathanaël de Rincquesen, le présentateur, annonce « ... Les lémuriens, des primates que l’on ne trouve qu’à Madagascar... ». En écho, Marc de Chalvron, le grand reporter de guerre sur le front de la déforestation dans la Grande Île, rappelle «... il en existe 112 espèces qui ne vivent qu’à Madagascar... ». Et d’assaisonner son propos de baroudeur cocardier en mettant en scène la présence de touristes bien français puis celle de ce compatriote qui a su, en quinze ans, replanter des essences d’origine et constituer une réserve de makis non loin d’Antananarivo la capitale.
C’est mimi, les lémuriens... C’est innocent, ces journalistes qui ne sauraient pas préciser qu’une sous-espèce de maki, Eulemur fulvus mayottensis, vit aussi, comme son nom l’indique, dans une île française, non loin, parce que ces animaux sont aussi présents à Anjouan, également dans l’archipel des Comores...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maki_de_Mayotte

De là à penser que le touriste où l’entrepreneur métropolitain à Mada valent mieux, à l’instar du maki, de la déforestation, de la pression anthropique, que les Français à Mayotte... Mais non ! ne dérivons pas vers le procès d’intention, par dépit, rancœur ou susceptibilité ! Et puis ne nous laissons pas aller à parler de fils à papa à la solde du système concernant nos deux journalistes à particules qui ne doivent leur notoriété qu’à leur talent propre...

Arrête avec tes psychoses de mal-aimée !  Mayotte, tu cries trop fort !