Des rumeurs courent concernant une grève des
“instuteurs" contre la réforme des rythmes scolaires injustement
appliquée à Mayotte. Mieux vaut tard que jamais.
En juin, cependant, le ministre Hamon a menacé de traîner en justice les maires réfractaires. On peut néanmoins estimer que la menace porte sur le refus de la matinée de classe le mercredi et non le tintouin péri et extra-scolaire. Comme il est dit dans de nombreux papiers ici-même (5 articles au moins), Mayotte est bien LE SEUL DÉPARTEMENT OU PRESQUE TOUS LES CHANGEMENTS PRÉVUS PAR LA REFORME S’APPLIQUAIENT DÉJÀ (9 demi-journées, 175 jours de classe/an, 5 jours par semaine). Ici, seule la cupidité des maires entre en jeu et la subvention par enfant, bien tentante et prévalant sur l’impossibilité à mettre en place la cantine, l’encadrement, les activités, a fait qu’ils sont restés dans une expectative aussi malhonnête qu’intéressée !
Maintenant que Benoît Hamon et compère Montebourg se disent proches du camp des frondeurs (si ce n’est pas un contre-feu pour canaliser le désamour!), reviendra-t-il sur ses menaces du mois de juin ? Reviendra-t-on sur cette réforme minable des rythmes scolaires ! Des adaptations sont indispensables pour des raisons de climat et d’équipement entre autres, particulièrement outre-mer. Pourquoi seraient-elles légitimement accordées en Guyane et pas à Mayotte ? Le ministre et un président à 17 % peuvent-ils exiger autant d’un métropolitain soutenu à hauteur de 17300 € alors que le citoyen mahorais ne coûte que 4700 € ?
Le devenir de nos enfants est en jeu ! RA HACHIRI ! "Formez vos bataillons" !
En juin, cependant, le ministre Hamon a menacé de traîner en justice les maires réfractaires. On peut néanmoins estimer que la menace porte sur le refus de la matinée de classe le mercredi et non le tintouin péri et extra-scolaire. Comme il est dit dans de nombreux papiers ici-même (5 articles au moins), Mayotte est bien LE SEUL DÉPARTEMENT OU PRESQUE TOUS LES CHANGEMENTS PRÉVUS PAR LA REFORME S’APPLIQUAIENT DÉJÀ (9 demi-journées, 175 jours de classe/an, 5 jours par semaine). Ici, seule la cupidité des maires entre en jeu et la subvention par enfant, bien tentante et prévalant sur l’impossibilité à mettre en place la cantine, l’encadrement, les activités, a fait qu’ils sont restés dans une expectative aussi malhonnête qu’intéressée !
Maintenant que Benoît Hamon et compère Montebourg se disent proches du camp des frondeurs (si ce n’est pas un contre-feu pour canaliser le désamour!), reviendra-t-il sur ses menaces du mois de juin ? Reviendra-t-on sur cette réforme minable des rythmes scolaires ! Des adaptations sont indispensables pour des raisons de climat et d’équipement entre autres, particulièrement outre-mer. Pourquoi seraient-elles légitimement accordées en Guyane et pas à Mayotte ? Le ministre et un président à 17 % peuvent-ils exiger autant d’un métropolitain soutenu à hauteur de 17300 € alors que le citoyen mahorais ne coûte que 4700 € ?
Le devenir de nos enfants est en jeu ! RA HACHIRI ! "Formez vos bataillons" !
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