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Aude, Languedoc, Tchécoslovaquie, Ariège, Pyrénées, Océan Indien, Lyon, Brésil, ports familiers mais unique maison des humains. Apprendre du passé, refuser la gouvernance cupide suicidaire. Se ressourcer dans l'enfance pour résister, ne pas subir. Passer ? Dire qu'on passe ? Sillage ? Aïeux, culture, accueil, ouverture aux autres, tolérance, respect, héritage à léguer (amour, écoute, cœur, mémoire, histoire, arts...) des mots forts, autant de petites pierres bout à bout qui font humanité.

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vendredi 17 octobre 2025

Astre et désastre 3.

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[...]   Et toujours des arbres morts, ici un boutelhetié, là des cognassiers, disparus... finies les gelées d'azeroles et pâtes de coing...
mardi 14 octobre 2025

Le contraire de « astre » svp ? 1.

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Aller manger à la mer par un beau dimanche d'octobre ne se refuse pas.  Belle journée en effet, beau soleil, juste un petit marin contra...
jeudi 4 janvier 2024

IL Y A DES JOURS COMME ÇA...

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Petite chronique superfétatoire :  Pézenas, porte Faugères, 2015.  J'étais sur la route de Madison, quand une Cadillac de police est pas...
jeudi 25 avril 2019

ÉCHOS DE FLEURY / Pâques fin mars / Mon village au bord de la mer...

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Lettre du 4 avril 1997.  Faut profiter le costume de la communion ? « … Par deux fois, nous avons passé quelques jou...
mardi 2 mai 2017

CAMPINA GRANDE (Paraiba, BRASIL) en grand danger d'être évacuée

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http://geopolis.francetvinfo.fr/secheresse-au-bresil-campina-grande-une-ville-en-danger-135689   La deuxième ville de l’état de l...
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De 1950, froissé par la guerre qui a endurci mes parents. Bien que professeur, je n'ai écrit pour écrire qu'en 1997, par hasard. En classe, l’emploi du mot juste, rien de grave si sur le coup son sens échappe... En privé, psychologiquement explicable, une correspondance nourrie avec le père, pur languedocien, professeur de français aussi, jamais brouillon, aimant les mots. J'ai écrit " Mayotte, Cartes Postales ", une monographie initiale, à publier un jour... En 2008, une si présente absence donnera une autoédition, un diptyque à quatre mains « Le Carignan », pour guider et construire " Caboujolette ", la part paternelle sur le village natal. Semez vos rêves en nombre, un jour, l'un d'eux a plus de chances de germer... Après une dizaine d'années et plus de 1100 articles, j'aimerais reprendre et regrouper cette matière à livres. Sur le Sud qui me vit naître, sur la Tchécoslovaquie des grands-parents maternels bien aimés, avec peut-être en titre, « Ma Forêt Perdue », sur Mayotte, une ile aimante qui ne mérite pas l'indifférence sinon le mépris et les critiques d'une France trop lointaine et ce n'est pas parce que ma vie y a poursuivi son chemin que je le dis...
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