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Aude, Languedoc, Tchécoslovaquie, Ariège, Pyrénées, Océan Indien, Lyon, Brésil, ports familiers mais unique maison des humains. Apprendre du passé, refuser la gouvernance cupide suicidaire. Se ressourcer dans l'enfance pour résister, ne pas subir. Passer ? Dire qu'on passe ? Sillage ? Aïeux, culture, accueil, ouverture aux autres, tolérance, respect, héritage à léguer (amour, écoute, cœur, mémoire, histoire, arts...) des mots forts, autant de petites pierres bout à bout qui font humanité.

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jeudi 7 avril 2022

LA FIN DU CHÂTEAU. Bouquets bachiques à Salles-d'Aude... .

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 Oh ! sur la droite, un toit mis à bas, des poutres, des chevrons, des tuiles enchevêtrées ! Le grillage de chantier lui-même éventré par de...
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mardi 24 octobre 2017

LA CAVE DE SON PÈRE, JEAN... MON GRAND- PÈRE / Fleury petit pays

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Les vendanges ? Pas l'occasion d'y penser cette année dans la rubrique "la vie continue". Je m'étais pourtant promis...
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De 1950, froissé par la guerre qui a endurci mes parents. Bien que professeur, je n'ai écrit pour écrire qu'en 1997, par hasard. En classe, l’emploi du mot juste, rien de grave si sur le coup son sens échappe... En privé, psychologiquement explicable, une correspondance nourrie avec le père, pur languedocien, professeur de français aussi, jamais brouillon, aimant les mots. J'ai écrit " Mayotte, Cartes Postales ", une monographie initiale, à publier un jour... En 2008, une si présente absence donnera une autoédition, un diptyque à quatre mains « Le Carignan », pour guider et construire " Caboujolette ", la part paternelle sur le village natal. Semez vos rêves en nombre, un jour, l'un d'eux a plus de chances de germer... Après une dizaine d'années et plus de 1100 articles, j'aimerais reprendre et regrouper cette matière à livres. Sur le Sud qui me vit naître, sur la Tchécoslovaquie des grands-parents maternels bien aimés, avec peut-être en titre, « Ma Forêt Perdue », sur Mayotte, une ile aimante qui ne mérite pas l'indifférence sinon le mépris et les critiques d'une France trop lointaine et ce n'est pas parce que ma vie y a poursuivi son chemin que je le dis...
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