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Aude, Languedoc, Tchécoslovaquie, Ariège, Pyrénées, Océan Indien, Lyon, Brésil, ports familiers mais unique maison des humains. Apprendre du passé, refuser la gouvernance cupide suicidaire. Se ressourcer dans l'enfance pour résister, ne pas subir. Passer ? Dire qu'on passe ? Sillage ? Aïeux, culture, accueil, ouverture aux autres, tolérance, respect, héritage à léguer (amour, écoute, cœur, mémoire, histoire, arts...) des mots forts, autant de petites pierres bout à bout qui font humanité.

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vendredi 5 juillet 2019

LA DERNIÈRE CLASSE / Pour des langues régionales reconnues...

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  Le village s’est adapté aux chaleurs estivales ; au mois de juin, l’heure d’été s’impose : les hommes partent à quatre heures vieil...
1 commentaire:
samedi 6 avril 2019

TOMI UNGERER RÉSERVÉ AUX ADULTES !

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Préalable : les photos sont issues du documentaire. A fin d'illustration et dans l'intention de ne pas attenter aux droits d'a...
mercredi 13 mars 2019

TOMI UNGERER ALSACIEN, PAS FRANÇAIS !

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Ou « LA SINCÉRITÉ DU MOMENT » https://www.ina.fr/video/CPB81050501 (vidéo de 1981).  « … Quand je pense à la Fr...
jeudi 28 février 2019

TOMI UNGERER… LES SOUVENIRS SONT DES CHAÎNES DANS NOS TÊTES… (2)

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Un inconnu, une grande émotion, une fascination pour cette créativité débordante, ce bouillonnement ...
samedi 23 février 2019

TOMI UNGERER… LES SOUVENIRS SONT DES CHAÎNES DANS NOS TÊTES…

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Tiens Arte veut nous parler d’un certain Tomi Ungerer. Pourquoi pas ? De grande taille, une belle gueule, sûrement reçue en héri...
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De 1950, froissé par la guerre qui a endurci mes parents. Bien que professeur, je n'ai écrit pour écrire qu'en 1997, par hasard. En classe, l’emploi du mot juste, rien de grave si sur le coup son sens échappe... En privé, psychologiquement explicable, une correspondance nourrie avec le père, pur languedocien, professeur de français aussi, jamais brouillon, aimant les mots. J'ai écrit " Mayotte, Cartes Postales ", une monographie initiale, à publier un jour... En 2008, une si présente absence donnera une autoédition, un diptyque à quatre mains « Le Carignan », pour guider et construire " Caboujolette ", la part paternelle sur le village natal. Semez vos rêves en nombre, un jour, l'un d'eux a plus de chances de germer... Après une dizaine d'années et plus de 1100 articles, j'aimerais reprendre et regrouper cette matière à livres. Sur le Sud qui me vit naître, sur la Tchécoslovaquie des grands-parents maternels bien aimés, avec peut-être en titre, « Ma Forêt Perdue », sur Mayotte, une ile aimante qui ne mérite pas l'indifférence sinon le mépris et les critiques d'une France trop lointaine et ce n'est pas parce que ma vie y a poursuivi son chemin que je le dis...
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