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Aude, Languedoc, Tchécoslovaquie, Ariège, Pyrénées, Océan Indien, Lyon, Brésil, ports familiers mais unique maison des humains. Apprendre du passé, refuser la gouvernance cupide suicidaire. Se ressourcer dans l'enfance pour résister, ne pas subir. Passer ? Dire qu'on passe ? Sillage ? Aïeux, culture, accueil, ouverture aux autres, tolérance, respect, héritage à léguer (amour, écoute, cœur, mémoire, histoire, arts...) des mots forts, autant de petites pierres bout à bout qui font humanité.

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mercredi 15 mars 2017

LE CERS QUI PASSE SUR LA GARRIGUE M’A RENDU FOU ! (fin)

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mardi 14 mars 2017

AUX COPAINS RESTÉS EN ROUTE / chronique à quatre mains.

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Question de génération, question de vécu : lorsque nous prenons conscience que plus on remonte dans le passé, plus les conditions de ...
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De 1950, froissé par la guerre qui a endurci mes parents. Bien que professeur, je n'ai écrit pour écrire qu'en 1997, par hasard. En classe, l’emploi du mot juste, rien de grave si sur le coup son sens échappe... En privé, psychologiquement explicable, une correspondance nourrie avec le père, pur languedocien, professeur de français aussi, jamais brouillon, aimant les mots. J'ai écrit " Mayotte, Cartes Postales ", une monographie initiale, à publier un jour... En 2008, une si présente absence donnera une autoédition, un diptyque à quatre mains « Le Carignan », pour guider et construire " Caboujolette ", la part paternelle sur le village natal. Semez vos rêves en nombre, un jour, l'un d'eux a plus de chances de germer... Après une dizaine d'années et plus de 1100 articles, j'aimerais reprendre et regrouper cette matière à livres. Sur le Sud qui me vit naître, sur la Tchécoslovaquie des grands-parents maternels bien aimés, avec peut-être en titre, « Ma Forêt Perdue », sur Mayotte, une ile aimante qui ne mérite pas l'indifférence sinon le mépris et les critiques d'une France trop lointaine et ce n'est pas parce que ma vie y a poursuivi son chemin que je le dis...
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