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Aude, Languedoc, Tchécoslovaquie, Ariège, Pyrénées, Océan Indien, Lyon, Brésil, ports familiers mais unique maison des humains. Apprendre du passé, refuser la gouvernance cupide suicidaire. Se ressourcer dans l'enfance pour résister, ne pas subir. Passer ? Dire qu'on passe ? Sillage ? Aïeux, culture, accueil, ouverture aux autres, tolérance, respect, héritage à léguer (amour, écoute, cœur, mémoire, histoire, arts...) des mots forts, autant de petites pierres bout à bout qui font humanité.

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lundi 10 juillet 2023

SÈTE 16. BRASSENS, ce cancre-là...

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 Georges Brassens, nous l’avons vu de loin à Balaruc chez son ami Lolo, suivi au rocher de Roquerols (il a eu deux barcots pour profiter de ...
vendredi 5 juillet 2019

LA DERNIÈRE CLASSE / Pour des langues régionales reconnues...

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  Le village s’est adapté aux chaleurs estivales ; au mois de juin, l’heure d’été s’impose : les hommes partent à quatre heures vieil...
1 commentaire:
mardi 25 juin 2019

LA DERNIÈRE CLASSE / la sason a la mar, la saison à la mer.

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Préalable : plutôt que la graphie mistralienne si commode pour justifier la phonétique « d’aqui darrè » (de derrière les gabels, les ...
vendredi 14 juillet 2017

TUTTI QUANTI FARCIS

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jeudi 29 juin 2017

On les aime ? vous croyez ?

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jeudi 22 juin 2017

LOU MURAILLET C’EST LE MOINEAU... / L'été en Languedoc

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« Mais c’est qu’il chante dans la pièce ! Je crois qu’il est entré ! » Maman avait raison, un petit oiseau au bec encore jaune se retrouve...
lundi 12 juin 2017

CIGALES ET ÉTÉ MÉTÉOROLOGIQUE... / Fleury d'Aude en Languedoc

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Les cicacidae, on les entend ce matin, à 6 heures vieilles comme disaient mes grands-parents et disent encore ceux qui ne veulent pas ou...
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De 1950, froissé par la guerre qui a endurci mes parents. Bien que professeur, je n'ai écrit pour écrire qu'en 1997, par hasard. En classe, l’emploi du mot juste, rien de grave si sur le coup son sens échappe... En privé, psychologiquement explicable, une correspondance nourrie avec le père, pur languedocien, professeur de français aussi, jamais brouillon, aimant les mots. J'ai écrit " Mayotte, Cartes Postales ", une monographie initiale, à publier un jour... En 2008, une si présente absence donnera une autoédition, un diptyque à quatre mains « Le Carignan », pour guider et construire " Caboujolette ", la part paternelle sur le village natal. Semez vos rêves en nombre, un jour, l'un d'eux a plus de chances de germer... Après une dizaine d'années et plus de 1100 articles, j'aimerais reprendre et regrouper cette matière à livres. Sur le Sud qui me vit naître, sur la Tchécoslovaquie des grands-parents maternels bien aimés, avec peut-être en titre, « Ma Forêt Perdue », sur Mayotte, une ile aimante qui ne mérite pas l'indifférence sinon le mépris et les critiques d'une France trop lointaine et ce n'est pas parce que ma vie y a poursuivi son chemin que je le dis...
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